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Pourquoi j’ai le sexe qui gratte ?

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Ça gratouille, ça piquote, ça chatouille… Il s’en passe des choses dans notre culotte. Mais toutes les démangeaisons ne se valent pas. Quelles sont-elles et comment les reconnaître ?

Ça nous est déjà toutes arrivé : avoir une folle envie de se gratter le pubis alors que ça nous démangeait, mais être dans l’impossibilité de le faire car nous sommes en public. Puis quand ce n'est pas le pubis, c’est clairement plus bas, et à part croiser ses jambes sous son bureau en attendant que ça passe, on peut rien y faire. Alors comment expliquer ces symptômes ? Qu’est-ce qui peut être à l’origine de ces folles envies de se gratter ? Voilà quelques pistes à analyser, et des astuces pour nous sauver la mise.

#1 Le rasage
Le rasoir est l’ennemi numéro un du maillot : déjà, on risque de se couper et puis les poils paraissent plus foncés et drus à la repousse. Si c’est une solution rapide pour dire au revoir à ses poils, ce n’est pas forcément bon pour la peau. La lame du rasoir peut en effet fragiliser l’épiderme en créant des micro-lésions, voire des brûlures. Ce sont elles qui sont à l’origine de certaines démangeaisons.
Les autres responsables, ce sont les poils incarnés. Ces petits poils qui repoussent sous la peau, et qui créent une bosse qui ressemble à un petit bouton, grattent beaucoup. D’ailleurs, si on a envie de les percer parce que voir sortir le poil nous excite, on évite, pour empêcher toute surinfection.

La solution ? Tout d’abord, de préférence, on n’opte pas pour le rasoir pour cette partie du corps. Si c’est le moyen que l’on préfère, mais aussi si l’on s’épile, on pense à faire un gommage du pubis avant toute chose. Cela évite les mauvaises surprises et les envies subites de se gratter le sexe alors qu’on parle à un collègue.

#2 Une mycose
Ah, la mycose. Charmante amie qui s’installe parfois dans notre culotte. Elle est causée par un dérèglement de la flore vaginale. On la reconnaît déjà parce qu’elle démange. Elle est également à l’origine de pertes vaginales blanchâtres, d’une irritation des lèvres, d’une rougeur locale mais aussi de douleurs pendant les rapports. 

La solution ? Aller chez le médecin et se faire prescrire un traitement efficace à base d’anti-fongiques, local ou oral. Attention : son partenaire doit aussi se faire traiter.

#3 La faute aux protections hygiéniques
Que celles qui n’ont jamais eu les fesses qui grattent pendant leurs règles lèvent la main. La faute à qui ? Aux protections hygiéniques pleines de produits chimiques et/ou de parfums, qui sont insupportables pour certaines. 

La solution ? Opter pour des serviettes réutilisables en coton, des tampons sans parfum, une cup ou une culotte de règles, pour ne plus jamais avoir le frifri irrité pendant une semaine. 

#4 Une mauvaise lingerie
Hé oui mesdames, si la dentelle est sexy et la viscose confortable, les deux ne font pas forcément bon ménage avec nos vulves et nos vagins. Certaines femmes ne supportent pas ces textiles car ils provoquent chez elles des démangeaisons désagréables, voire des mycoses. Alors si vous souffrez régulièrement de rash cutanées et de champignons à cet endroit, pensez à renouveler votre stock de petites culottes

La solution ? Adopter une lingerie 100% coton. Et - ceci est un argument de taille - le coton est de plus en plus sexy. 

#5 Une IST 
Plusieurs infections sexuellement transmissibles sont à l’origine de démangeaisons de la vulve et du vagin. Parmi elles : l’herpès, l’infection à mycoplasme ou la trichomonase. Attention, il arrive aussi que certaines IST se déclarent par des rash qui ne grattent pas. 

La solution ? Aller chez le médecin très rapidement pour effectuer un diagnostic et se faire traiter correctement. 

#6 Une irritation temporaire
La chaleur, un vêtement trop serré, la transpiration… Les raisons des petites démangeaisons du quotidien sont nombreuses et variées. 

La solution ? En cas de grosses chaleurs par exemple, on privilégie donc une culotte en coton et des vêtements larges pour laisser notre intimité respirer. En règle générale, c’est toujours une bonne idée. Et si ça gratte trop, on s’allonge avec un gant de toilette frais sur la vulve et le pubis pour se soulager.

#7 Les morpions
Ces petites bêtes qui ressemblent à des petits crabes habitent dans nos poils pubiens et, comme les poux de tête, démangent. Même si l’on s’attache à eux et qu’on a envie qu’ils restent au chaud pour l’hiver, il vaut mieux s’en débarrasser. 

La solution ? Des lotions existent en pharmacie pour s’en débarrasser au plus vite, voyez avec votre médecin.

#8 Une dyspareunie
Qu’est-ce que c’est ? C’est lorsque l’on souffre pendant un rapport sexuel, notamment lors de la pénétration, qui est souvent impossible. Certaines femmes observent des douleurs qui s’apparentent à des démangeaisons, des picotements ou encore des sensations de brûlures qui durent même au-delà de la relation. 

La solution ? Les dyspareunies sont très handicapantes pour les femmes et il est nécessaire d’aller consulter un spécialiste qui saura effectuer un diagnostic et trouver une réponse adaptée à sa pathologie. 
 


Chaque semaine, nous ingérons 5g de plastique, l’équivalent d’une carte de crédit

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Selon un rapport commandé par le WWF à l'université de Newcastle en Australie, chaque individu ingérerait en moyenne 5 grammes de plastique chaque semaine.

Bon appétit. Ou pas. 50 articles de recherche du monde entier ont été réunis et ont permis de déterminer nos taux d'ingestion de plastique, dont 33 ont étudié la consommation de plastique dans les aliments et les boissons comme les crustacés, la bière, l'eau potable et le sel. Et le verdict est assez fou : nous avalerions environ 2 000 micro-pièces de plastique par semaine, ce qui représente 21 grammes par mois et un peu plus de 250 grammes (ou 100 000 particules) par an. "Alors que la prise de conscience grandit quant à l'existence des microplastiques et à leur impact sur l'environnement, cette étude fournit pour la première fois un calcul précis des taux d'ingestion", a expliqué Thava Palanisami, professeure à l'Université de Newcastle.

D’où provient ce plastique ? L’étude révèle que l’eau est la première source de ce plastique ingéré, que ce soit l’eau potable, les eaux souterraines, les eaux de surface, l'eau du robinet et les bouteilles d'eau. Avec 0,5 g par semaine, les mollusques et crustacés représentent également un des plus forts taux. Pourquoi ? Parce que bien souvient nous les mangeons entier et nous avalons donc leur système digestif.
WWF espère que les résultats de ces recherches "serviront de sonnette d'alarme" pour les gouvernements. "Les plastiques polluent non seulement nos océans, mais également la vie marine et les humains. Une action urgente et globale est nécessaire pour faire face à cette crise", a déclaré l'organisation. Gloups. 

Mois des fiertés : comment customiser ses hashtags aux couleurs de l’arc-en-ciel sur Instagram

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Pour célébrer le mois des fiertés, Instagram propose de nouvelles options permettant de s'identifier à un genre neutre ou de mettre ses hashtags aux couleurs du drapeau LGBTQI+.

Le mois de juin est le mois des fiertés, l’occasion de célébrer le mouvement LGBTQI+ en donnant plus de visibilité aux identités de genres et sexuelles minoritaires et pour les marques, de montrer leur engagement envers la lutte. Comme Instagram, qui dévoile de nouvelles fonctionnalités. Il est dorénavant possible de s’identifier à une identité de genre neutre, plutôt que les traditionnels "féminin" et "masculin".

En plus de ça, Instagram propose de customiser ses hashtags aux couleurs de l’arc-en-ciel, propres au drapeau LGBTQI+, en utilisant des hashtags en rapport avec la communauté LGBTQI+, comme #lgbt, #gay, #bi, #lesbian, #trans et bien d’autres ! On retrouve également les couleurs de l’arc-en-ciel dans le cercle qui entoure les photos de profil, disponibles en utilisant toujours les hashtags précisés précédemment, cette fois dans sa story !

Netflix lance un jeu vidéo "Stranger Things" inspiré de la troisième saison de la série

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Les fans de "Stranger Things" vont être ravis ! Netflix va adapter la série en jeu vidéo. Et de nombreux autres jeux sur console sont à venir, tous créés par la plateforme de streaming.

En 2017, Netflix avait surpris en lançant le jeu gratuit pour mobile "Stranger Things : The Game" basé sur la série Stranger Thing. Mercredi 12 juin 2019, lors du salon du jeu vidéo E3 qui avait lieu à Los Angeles, le géant du streaming a une nouvelle fois répondu présent là où on ne l’attendait pas. Cette fois-ci, Netflix sort un jeu vidéo sur console, baptisé Stranger Things 3 : The Game et développé par BonusXP. Disponible dès le 4 juillet 2019, en même temps que la sortie de la saison 3 de Stranger Things, dont le jeu est inspiré de cette nouvelle saison. Au programme : jeu d’aventures au graphisme rétro digne des années 80, évidemment. Il sera disponible sur la Nintendo Switch, la Playstation 4 (Sony) ou la Xbox One (Microsoft). En 2020, le jeu vidéo sera adapté en une version pour smartphone développé par Next Games et qui sera basé sur la géolocalisation comme Pokémon Go. “On travaille sur du contenu original depuis longtemps chez Netflix (...),a déclaré Chris Lee, directeur des jeux interactifs chez Netflix, donc nous sommes à la recherche de nouvelles opportunités pour ouvrir l’univers de ces séries et de ces films à d’autres médias”. Affaire à suivre de près, donc.

Lyon : les nouvelles adresses qui font vibrer la ville

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Repérée par le "New York Times" comme l’une des 52 villes à visiter en 2019, Lyon est une destination idéale pour un week-end urbain. Des bonnes tables au dernier lieu hybride à la mode, zoom sur les nouveaux spots de la capitale des Gaules.

La bonne table : Sapnà
Dans le quartier de la Martinière, un ancien troquet a fait place à Sapnà, le nouveau concept de la Bijouterie - chef de gang de la bistronomie lyonnaise. Table orientée street food asiatique, bar à pâtisseries, fresque murale et musique pointue : l’adresse se veut cool. À midi, on se jette sur les baos, des brioches vapeur garnies de viande ou de légumes selon l’humeur. Le soir, on pioche dans les dim-sums du genre wonton de langoustines ou frites de radis blanc à tremper dans de l’aïoli. Le must ? Le côté sucré de la force. Mont-Blanc clémentine et bière noire, kiwi au beaufort et au praliné ou chocolat pretzel : c’est aussi mystérieux que délicieux. Rien que pour les desserts, cette adresse vaut le détour.

Sapnà, 7, rue de la Martinière, Lyon 1er.


La pause café arty : The Native Nation
Ce nouveau café-galerie a ouvert ses portes au cœur du quartier d’Ainay, vrai repère d’artistes. L’espace est épuré pour laisser toute la place aux œuvres. Ici, on vient pour un café, un rooibos, une pâtisserie mais aussi pour découvrir des designers contemporains. Chaque année, la lumière est mise sur un pays, à commencer par l’Afrique du Sud en 2019. La boutique accueille des créateurs émergents autour de trois axes : art, design et prêt-à-porter. Un parfum d’exclusivité flotte dans l’air tandis qu’on admire vêtements, pièces en céramique, bijoux et sérigraphies. Et si vous ne vous décidez pas avant la fin du week-end, chaque création est disponible à la vente sur la boutique en ligne.

The Native Nation, 37, rue des Remparts d'Ainay, Lyon 2e.


Le bar design : L’Illustre
À deux pas des quais de Saône, ce micro-bar à vins s’offre l’un des plus beaux décors de la ville. Inspiré des speakeasy autant que des bistrots tradi, l’Illustre dévoile un univers Art Déco. Du carrelage graphique à la banquette velours, rien n’a été laissé au hasard. À boire, une grande sélection de vins bio et naturels pour picoler sans culpabiliser. La carte fait aussi la part-belle aux amuses-gueules et propose du foie-gras maison, une flopée de fromages du coin, et parfois des tapas plus opulentes comme du homard breton. S’il fait beau, le spot dispose même d’une jolie terrasse vert émeraude. En résumé ? Un spot canon pour boire des coups.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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L'illustre, 1, place Ennemond Fousseret, Lyon 5e.

Le lieu hybride : la Commune
On ne tombe pas par hasard sur la Commune. Blottie entre un quartier résidentiel et un quartier d’affaires, cette ancienne menuiserie attire pourtant les foules. Mi-food court, mi-salle culturelle, elle défend une seule philosophie : bien manger, bien boire, passer du bon temps. On vient donc butiner entre les 12 échoppes qui servent de tremplin à des jeunes chefs. Ils ont un an pour se tester avant d’ouvrir leur propre restaurant. Poulet mariné frit chez Udon-Ya, gnocchi chez Trattino ou baba au rhum chez Zoï : le plus dur est de choisir parmi les spécialités. Et quand on a fini de manger, on peut, selon le programme, assister à un concert dans le noir, à une conférence sur les femmes dans la culture ou à un cours de yoga. Hybride, on vous dit. 

La Commune, 3, rue Pré-Gaudry, Lyon 7e.


Le spot shopping : Bagouse
Pierres apparentes, murs rose poudré, paravent design et fleurs séchées : cette boutique lovée dans les Pentes de la Croix-Rousse a tout d’un boudoir cosy. Déjà à la tête d’une boutique d’articles vintage, Léa Morizot s’oriente désormais vers les bijoux et les accessoires de créateurs. Parmi les pépites qu’on shoppe chez Bagouse à prix doux : médaillons plaqué or, créoles tendances, sacs à main en velours… Le paradis pour celles qui aiment tout ce qui brille.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Bagouse, 16, rue des Capucins, 1er.

Été 2019 : quelles sont les 10 destinations préférées des Français

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TripAdvisor dévoile le top 10 des destinations préférées des Français pour l’été 2019. Et la première place revient à un lieu situé dans l’Hexagone.

Selon un nouveau sondage de TripAdvisor, 4 Français sur 5 vont partir en vacances cet été. Mais où ? D'après le site de conseils entre voyageurs, la destination la plus prisées par les vacanciers n’est autre que la Corse. Deux autres îles se hissent également sur le podium, Majorque en Espagne et la Crête en Grèce. Preuve que les estivants aiment avoir les pieds dans l’eau.

Le top 10
1. Corse, France
2. Majorque, Espagne
3. Crête, Grèce
4. Sardaigne, Italie
5. New York, États-Unis
6. Marrakech, Maroc
7. Santorin, Grèce
8. Sicile, Italie
9. Londres, Royaume-Uni
10. Paris, France

Il y aurait un micro caché dans le robot "Monsieur Cuisine Connect" de Lidl... L'enseigne répond !

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"Oui, l'appareil est connecté et effectivement il y a un micro, mais il n'est pas actif" a répondu le géant Lidl suite à la polémique autour de son robot-cuiseur connecté, vendu à des milliers d’exemplaires en quelques jours.

Le "Monsieur Cuisine Connect" vous a-t-il espionné dans votre cuisine ? C’est en tous cas ce qu’affirmait une rumeur qui s’est rapidement répandue concernant le robot-cuiseurà bas coût de Lidl. En effet, hier jeudi, le site Numerama, a partagé l'expérience de deux Français qui, "en voulant s'amuser à détourner l'écran tactile" du robot-cuiseur, ont "mis au jour l'existence d'un micro secret inactif qui pourrait être vulnérable aux attaques". "Notre enquête montre notamment qu'un micro a été installé dans le Monsieur Cuisine Connect, sans que sa présence ne soit indiquée, et sans qu'il n'y ait de justification apparente", écrivait le site Numerama.

La réponse de Lidl
Toutefois, l'enseigne Lidl a indiqué hier 14 juin 2019 que son robot-cuiseur, vendu à des dizaines de milliers d'exemplaires en quelques jours, était bel bien équipé d'un micro, mais que celui-ci était "inactif". "Oui, l'appareil est connecté et effectivement il y a un micro, mais il n'est pas actif et ne peut pas être activé à distance ou par le client, sauf action très spécifique. Et en aucun cas Lidl ne peut l'activer à distance", a réagi Michel Biero, gérant des achats pour Lidl France.
Mis en vente le 3 juin dernier dans ses magasins en France le robot-cuiseur au prix de 359 euros, nettement inférieur à ceux des appareils proposant les mêmes fonctions, dont le célèbre Thermomix de Vorwerk vendu 1299 euros, avaient tellement suscité de succès que ses ventes avaient provoquées des scènes de cohue en boutique. L’appareil produit en Chine et commercialisé par Lidl sous la marque Silvercrest, fonctionne grâce à une tablette Android qui comporte un micro intégré "afin qu'on puisse, un jour, dans six mois ou dans deux ans, avoir la possibilité d'installer une commande vocale. Mais si c'était le cas, on enverrait une mise à jour, et uniquement le client pourrait l'activer ou pas", relève Michel Biero.

"Stranger Things" : le Grand Rex organise un marathon pour la saison 3

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Avis aux fans de "Stranger Things" : le 4 juillet 2019 le Grand Rex de Paris crée la surprise en projetant l'intégralité de la saison 3. Cerise sur le gâteau, cette "Stranger Night" se déroulera en présence de certains acteurs de la série.

Prêts à combattre le Démogorgon ? Après avoir diffusé le dernier épisode de Game of Thrones et avant d'accueillir le marathonSpider Man, le Grand Rex de Paris organise une Stranger Night le 4 juillet 2019. Pour l'occasion, le cinéma parisien projetera les dix épisodes de la saison 3 de 17h30 jusqu’au petit matin. Ce n’est pas tout : les acteurs de la série, Joe Keery (Steve), Natalia Dyer (Nancy), Finn Wolfhard (Mike) et Charlie Heaton (Jonathan) seront présents pour lancer ce visionnage exclusif. D'autres surprises comme des jeux d'arcade seront également au programme. 
 
Pour avoir la chance d'y assister, il suffit de se rendre sur le site de l'événement et de répondre à des questions sur la série. 


Soudan : pourquoi voit-on des photos bleues partout sur les réseaux sociaux ?

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Depuis quelques jours, nombreux sont les utilisateurs de réseaux sociaux à avoir changé leur photo de profil en bleu. Une manière pour eux de soutenir le Soudan, qui traverse une grave crise politique.

Une vague bleue pour la solidarité. Depuis quelques jours, sur Instagram, Twitter, ou encore Facebook, des internautes se parent d’une photo de profil bleue. Le but ? Soutenir la population soudanaise, victime d’une répression meurtrière par les militaires au pouvoir, après avoir lancé un mouvement de contestation sans précédent.

Cette démarche née spontanément sur les réseaux sociaux, vise à alerter le grand public sur la crise politique que traverse actuellement le pays et sa population. Une manière de protester contre la sévère répression et violences perpétrées par les militaires, au pouvoir depuis la destitution par l’armée du président Omar el-Bachir, le 11 avril dernier.

Lancé mercredi sous le hashtag #BlueForSoudan, plus de 300 000 internautes à ce jour ont affiché leur solidarité avec les manifestants soudanais. Sur Instagram, le hashtag a été utilisé plus de 15 000 fois.

Cette tendance serait selon plusieurs sources un hommage à Mohamed Hashim Mattar, un manifestant pacifiste de 26 ans tué par une junte militaire alors qu’il protégeait deux femmes le 3 juin dernier. Le bleu était sa couleur préférée.

 

"When They See Us" est la série la plus vue depuis sa sortie sur Netflix US

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Cette mini-série qui relate l'histoire vraie des "cinq de Central Park" est devenue la série la plus regardée sur Netflix US. Et ceci, seulement deux semaines après sa sortie, le 31 mai 2019.

When They See Us est bien partie pour entrer dans l'histoire. C'est dans un tweet que Netflix a annoncé que la mini-série en quatre épisodes réalisée par Ava Duvernay est devenue la série la plus regardée sur la plateforme états-unienne, depuis sa sortie le 31 mai 2019.

When They See Us(Dans leur regard, en version française) revient sur l'histoire vraie des "Central Park Five", ou "Cinq de Central Park". Ces cinq garçons noirs et latino, accusés à tort d'avoir violé et torturé une joggeuse blanche à Central Park un soir de printemps 1989. Nous suivons durant environ cinq heures le périple de ces adolescents luttant contre cette injustice qui leur a été faite, sous fond de tensions raciales.

La mini-série a un impact tel que Linda Fairstein, qui dirigeait à l'époque l'unité des crimes sexuels du bureau du procureur, et qui est grande partie responsable de leur condamnation, ainsi qu'Elizabeth Lederer, procureure en charge de l'affaire, ont perdu plusieurs de leurs contrats de travail.

When They See Us, disponible sur Netflix.

"Plan C" : tout ce que l’on sait (déjà) sur la nouvelle émission de Camille Combal

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Vendredi 14 juin 2019 à 23h15, TF1 lancera son tout nouveau programme de divertissement, "Plan C". Un pari un peu fou que la chaîne a confié à son chouchou du moment : Camille Combal. Voici donc ce à quoi il faudra vous attendre.

TF1 a décidément misé sur le bon cheval. Après avoir repris les rênes de Danse avec les stars et succédé à Jean-Pierre Foucault à la présentation de Qui veut gagner des millions, Camille Combal, alias le petit protégé de la chaîne, lancera sa propre émission vendredi 14 juin 2019, Plan C. Des stars, des défis et des confessions… le principe de l’émission est simple : les invités passent la journée avec le présentateur et se voient confier diverses missions. Vous pourrez donc les voir débarquer à l’improviste chez des inconnus, dîner chez eux et même laver les carreaux de la tour TF1.

En prime, le mythique Carpool Karaoké de James Corden débarquera pour la toute première fois en France. L’adaptation tricolore de cette séquence sera inauguré par (Maître) Gims et il se murmure qu’Aya Nakamura sera la prochaine sur la liste. La passation de pouvoir entre les deux animateurs a d’ailleurs marqué les esprits et comptabilise plus d’un million de vues sur YouTube.

Pour cette première émission, Camille Combal recevra des invités de marque, tous sponsorisés TF1 bien entendu : le champion du monde Adil Rami, M. Pokora, Iris Mittenaere, (Maître) Gims, la Bande à Fifi (Philippe Lacheau, Élodie Fontan, Tarek Boudali…), Manu Payet, Kev Adams et les rappeurs toulousains Big Flo et Oli. Les quatre jurés de The Voice devraient également y faire une apparition. Peu surprenant. Et pour ce tout nouveau programme tourné au Studio Gabriel à Paris (Vivement dimanche, On n’est pas couché…), l'animateur sera notamment entouré de son fidèle acolyte, Bertrand Chameroy. L’ancien chroniqueur de Touche pas à mon poste, qui a récemment connu un passage à vide médiatique, a tourné plusieurs micros-trottoirs pour les besoins de ce divertissement 2.0.

Si le succès est au rendez-vous, Plan C devrait facilement trouver sa place dans la grille des programmes de la saison prochaine. En attendant, on retrouvera bientôt Camille Combal à la présentation de la dixième saison de Danse avec les stars.

Recette : comment préparer des nouilles comme à Shanghai ?

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Cette semaine, direction Shanghai avec cette recette de nouilles au porc tirée du livre "Cuisiner Chinois", édité par Marabout.

NOUILLES DE SHANGHAI

Pour 4 personnes
Préparation 15 minutes
Marinade 10 minutes
Cuisson 10 minutes

Produits frais
300 g d’échine de porc coupée en fines lanières
400 g de nouilles hokkien
2 gousses d’ail hachées
2 ciboules finement hachées
1 botte de brocoli chinois coupé en fines lanières

Epicerie
2 c. à soupe de sauce d’huître
1 c. à café d’huile de sésame
60 ml d’huile végétale

Mélangez le porc avec 1 cuillerée à soupe de sauce d’huître dans un saladier. Laissez mariner 10 minutes. Faites cuire les nouilles dans de l’eau bouillant e 2 à 3 minutes jusqu’à ce qu’elles soient tendres. Égouttez et réservez. Faites chauffer l’huile dans un w ok à feu vif. Faites sauter le porc 2 à 3 minutes jusqu’à ce qu’il soit bien doré. À l’aide d’une écumoire, retirez le porc et mettez-le sur une assiette. Retirez l’huile du wok, sauf 1 cuillerée à soupe. Faites sauter l’ail, les ciboules et le brocoli chinois 1 minute jusqu’à ce que le brocoli chinois soit tendre.

Remettez le porc dans le wok et ajoutez le reste de sauce d’huître et l’huile de sésame. Mélangez quelques secondes puis ajoutez les nouilles et 60 ml d’eau. Faites cuire jusqu’à ce que la sauce épaississe et nappe les nouilles. Servez chaud.

Retrouvez encore plus de recettes chinoises dans le livre Cuisiner chinois de Ross Dobson, édité par Marabout au prix de 19,90 €.

Alerte baskets : Nike dévoile une collection de baskets inspirée de la saison 3 de "Stranger Things"

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L'art du teasing. Quelques jours avant l'arrivée de la troisième saison de "Stranger Things" sur Netflix, Nike a dévoilé une collaboration inédite avec la série la plus hype du moment. De quoi faire monter un peu plus la sauce.

Prévue pour le 4 juillet prochain, la troisième saison de "Stranger Things" se fait attendre. Après avoir collaboré avec le géant suédois H&M autour d'une capsule pleine de références aux années 1980, cette fois-ci la série de science-fiction s'associe à Nike. Cette capsule s'articule autour des modèles de baskets iconiques de la marque au Swoosh : Cortez, Blazer et Tailwind. En plus de ces trois paires, 3 t-shirts, 3 sweats, 3 pantalons, ainsi que 2 casquettes sont au programme. Une collection inspirée par la “Hawkins High School” - le lycée qui sera mis en avant dans la nouvelle saison -, aux couleurs verte, blanche et orange. "En 1985, le monde du sport connaissait un changement radical : l’énergie résonnait depuis les JO de Los Angeles et le basketball professionnel se greffait dans l’ère du spectacle. L’année 1985 a été un grand pas en avant chez Nike (avec la Air Max ) […] Pendant ce temps, les modèles Cortez, Blazer et Tailwind sont restés des modèles de base, conférant une authenticité à la collection Stranger Things", explique Nike sur son site. 

Les pièces seront vendues à partir du 27 juin sur le site de la marque. Un nouveau drop aura lieu le 1er juillet 2019 à l'approche du jour de l’Indépendance des États-Unis, avec les mêmes modèles réinventés aux couleurs de l’Amérique : bleu, blanc et rouge.

Away x Alex Eagle : on a trouvé la valise idéale de l'été

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La directrice artistique Alex Eagle et la marque de valise la plus cool du moment, Away, renouvellent leur collaboration autour de quatre valises connectées, inspirées des voyages de la créatrice. Un must-have pour s'envoyer en l'air.

C'est dans son studio recouvert de blanc, niché dans le quartier de Soho à Londres, que la directrice artistique Alex Eagle nous attend pour nous parler de sa nouvelle collaboration avec la marque américaine de bagages Away. Cette collection s’inspire des destinations européennes favorites de la créatrice, passée par des magazines comme Harper's Bazaar ou Tank, qui remasterise l’iconique valise en polycarbonate Navy et les indispensables Insider Packing Cubes, qu’elle orne de fermetures éclair éclatantes. "Cette capsule puise son inspiration de mes différents voyages en Europe et de la nature", confie-t-elle. Les quatre coloris inédits qu'elle utilise font écho à ses souvenirs de vacances : le bleu clair d’un ciel dégagé, le rose corail des tuiles de toit en terre cuite, le jaune doré d’un après-midi ensoleillé et le vert chaleureux des feuilles d’olivier.

Fondée en 2016 aux États-Unis par le duo féminin Jen Rubio et Steph Korey Away, la marque Away a ouvert un premier magasin européen de 280 mètres carrés à Londres, en septembre dernier. La valise connectée Away, qui inclut un chargeur de batterie, a véritablement révolutionné le secteur de la bagagerie avec ses modèles garantis à vie. "Away représente le luxe : ce sont des valises que vous gardez toute votre vie. Avec les bagages Away vous êtes à l'aise et sexy à la fois, c'est très français je trouve. Les valises s'associent avec n'importe quelle tenue et ne seront pas démodées la prochaine saison". En plus de leur design moderne, leur format offre un rangement intelligent : la marque prévoit des petits sacs qui tiennent dans les valises pour une organisation optimale.Du luxe abordable puisque les prix varient entre 245 euros pour un modèle cabine et 325 euros pour le grand format. Un véritable investissement car ces valises sont garanties... à vie.  

Don du sang : pourquoi est-il important de donner son sang ?

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Alors que les réserves de dons de sang sont au plus bas depuis plusieurs années, elles permettent toujours autant de sauver des vies. Voici pourquoi il est important de devenir donneur.

Depuis 2011, les réserves de dons de sang sont au plus bas en France. Jusqu’au 13 juillet 2019, l’Etablissement Français du Sang (EFS) organise 7000 collectes et particulièrement ce vendredi 14 juin 2019, à l’occasion de la journée mondiale des donneurs de sang. Pourquoi donner son sang ? Selon l’EFS, en France, 10 000 dons sont nécessaires par jour afin de sauver des personnes malades en situation d’urgence (dans 35% des cas), souffrant de maladies chroniques (dans 47% des cas) ou bien de maladies du sang ou de cancers.

Des collectes sont organisées partout en France, il est possible de les retrouver sur la carte du site de l’EFS, qui a aussi cette année lancé une application "Don du sang" disponible sur Android et IOS. Pour être donneur, il suffit d’être âgé de 18 à 70 ans, d’être en bonne santé et de ne pas présenter de contre-indications (peser moins de 50 kg ou être enceinte par exemple, un quizz est disponible sur le site de l’EFS pour savoir si l’on est éligible au don de sang). Une femme peut donner son sang jusqu'à quatre fois par an et un homme six fois.


Les zombies nous gonflent !

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Les morts-vivants sont partout sur les écrans de cinéma. La preuve : après l’Américain Jim Jarmusch avec The Dead Don’t Die, c’est au tour du Frenchy Bertrand Bonello de débarquer avec "Zombi Child". On grogne de plaisir ? On frissonne ? Pas vraiment.

La perspective de l’été vous donne de furieuses envies de légèreté, de soleil et de films émoustillants ? Pas de chance, les cinéastes semblent s’être mis d’accord pour envahir les écrans avec des films où les zombies se bousculent au portillon, histoire de dévorer de la chair fraiche, de nous foutre les jetons, voire de nous prendre la tête.

Il y a un mois tout juste, Jim Jarmuschétait invité à ouvrir le Festival de Cannes avec The Dead Don’t Die, un film de zombies abracadabrantesque où les morts-vivants semaient un bordel monstre dans une petite ville américaine peuplée d’habitants débiles. Cette farce macabre et anecdotique, aussi vite vue et aussi vite oubliée, comptait néanmoins quelques mérites : ne jamais se prendre au sérieux et abriter dans sa royale distribution des acteurs indiscutables : Bill Murray, Chloé Sevigny, Adam Driver et même, clou du spectacle, Iggy Pop dans le rôle d’un zombie dément qui avait de toute évidence beaucoup inspiré le rocker inoxydable.

Rebelote cette semaine avec Zombi Child, de Bertrand Bonello, un cinéaste français aux ambitions arty et intellos qui, sans surprise, n’aborde pas le sujet zombie avec la légèreté déconnante de son confrère U.S. Dans son nouveau film, Bonello examine au contraire avec solennité les relations troubles entre des esclaves haïtiens des années 60 communiant sur l’autel du vaudou et des jeunes filles d’aujourd’hui qui, dans un établissement scolaire de luxe, arborent des costumes proprets, mais ont le cerveau rempli d’idées noires. Quel est le lien entre les Haïtiens d’hier et les Françaises d’aujourd’hui ? Il faut voir le film pour le comprendre. Ou pour faire semblant car, à vrai dire, nous, on n’a pas tout compris. Ce qui ne nous empêche pas de dormir.

Il faut bien le reconnaître: versant farce rigolote ou versant théorie cérébrale, ce retour en masse des morts-vivants avec son cortège de messes noires et de mystères ésotériques commence à lasser à force d’enchaîner les morceaux de bravoure morbides avec des zombies zigouillant tout sur leur passage et de multiplier les élucubrations vaguement métaphysiques sur le mode "les morts parlent aux vivants et vice versa". Un peu moins de morts-vivants dans le paysage pré estival n’aurait rien pour nous déplaire. Histoire de célébrer des vivants bien vivants…

Zombi Child, de Bertrand Bonello, avec Louise Labeque, Wislanda Louimat… Sortie le 12 juin.

"Fier.e.s", la série docu qui met à l’honneur la communauté LGBTQI+ française

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A l’occasion du mois des fiertés, ViceLand a créé une série documentaire de six épisodes, mettant à l’honneur six personnes LGBTQI+ français.

"Je suis une personne noire, homosexuelle, et réfugiée". Pendant une minute, on découvre l’histoire de Brahim, réfugié tchadien, arrivé en France en 2015. Le récit de ce couturier est raconté dans FIER.E.S, série documentaire développée par ViceLand, dans le cadre de la semaine des fiertés sur la chaîne.

Durant six épisodes, les journalistes suivent six personnes LGBTQI+ françaises. Des portraits qui seront publiés tout au long du mois de juin, à l’occasion de la Pride Month. Le premier épisode, diffusé lundi 12 juin sur les réseaux sociaux, a donné la parole à Barbara Butch, DJ "gouine, grosse et activiste", comme elle se présente.

Un panel de portraits inclusifs, une volonté de la part de Matthieu Foucher, journaliste contributeur de la série : "Avec notre équipe on voulait mettre en avant des personnes qui politisent leurs identités, mais surtout les varier. Il est important de nos jours d’offrir des représentations différentes, puissantes, et positives". Les prochains épisodes s'évertueront à mettre en avant personnes aux parcours et identités multiples (pas de spoiler !).

En attendant les prochains épisodes, les deux premiers sont disponibles sur les comptes Twitter et Facebook deViceLand. L’intégralité des épisodes sera disponible fin juin sur les réseaux sociaux, et seront diffusés début juillet sur leur chaîne télévisée.

"NOS4A2" : l’étrange série avec Zachary Quinto mérite le coup d’œil

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À la fois série d’horreur, fantastique, sociale, "NOS4A2" est un bien étrange objet. Adaptée du troisième roman de Joe Hill, le fils de Stephen King, cette œuvre devrait plaire aux amateurs du genre.

Dites 33
Une Amérique oubliée, loin des mégalopoles. Vic, une lycéenne douée pour le dessin, rêve d’un avenir meilleur, d’un métier autre que celui de sa mère femme de ménage et de faire ses études dans une grande école d’arts plastiques. Son ultra-créativité lui procure un pouvoir, celui de se créer un raccourci et d’aller précisément là où elle doit être quand elle traverse un pont couvert sur sa moto. Elle va devoir s’en servir pour traquer Charlie Manx, un vieillard bien flippant, qui enlève des enfants délaissés par leurs parents et qui se pavane en Rolls. Et pourquoi NOS4A2, pardi ? Parce que c’est le numéro d’immatriculation de la Rolls et que ça se prononce "Nosferatu".

Attendrissante monstruosité
Presque dix ans après la fin de Heroes, Zachary Quinto a de nouveau succombé au rôle du grand méchant loup. Dans ce conte horrifique digne de Charles Perrault, Manx n’est pas vraiment un vampire tel qu’on les connaît, même si le nom "Nosferatu" y fait clairement référence. Bien qu’il ait aussi des dents bien acérées. Il ne se nourrit pas du sang des enfants, il vampirise leur énergie au cours d’un long trajet dans sa belle voiture jusqu’à Christmasland. Un voyage au cours duquel il rajeunit à mesure que les cernes et les joues des enfants se creusent. Il conduit ses victimes dans cet endroit refuge, où c’est tous les jours Noël, où la tristesse est illégale. C’est donc une sorte de croquemitaine un peu timbré qui se prend pour un Père Noël d’un genre nouveau. Toute la subtilité du personnage, assez grandiloquent, réside dans sa psychologie. Il pense sincèrement "sauver" les enfants et sa cruauté n’est que l’écho d’une blessure qui n’a jamais cicatrisé. Sans aucun doute, Zachary Quinto est délicieusement malaisant dans ce rôle !

L’autre Amérique
Dans le rôle de Vic, Ashleigh Cummings hypnotise. Elle dégage une force vitale indéniable. Elle se démène aussi bien pour échapper à sa condition sociale que pour traquer Manx. Au fil des épisodes, NOS4A2 s’applique à dépeindre au travers de Vic et sa famille une autre Amérique, celle qu’on ne voit presque jamais dans les médias. Celle des petites villes excentrées, bordées de forêts belles et inquiétantes. Le rêve américain n’y existe pas ou juste pour une poignée de chanceux. Les inégalités sociales sont criantes. Pour Vic, tout espoir est tué dans l’œuf par sa mère qui ne souhaite rien d’autre pour sa fille qu’elle fasse elle aussi des ménages. "Oublie l’université, bien trop chère." lui dit-elle en substance. Exit le talent. Dans ce monde capitaliste, il ne paie pas. Le pouvoir de Vic, son "raccourci", constitue alors une échappatoire au sens propre comme au figuré. Dans NOS4A2, le fantastique n’est qu’une métaphore qui permet aux personnages de se transcender pour le meilleur ou pour le pire. Et même si cette série doit s’apprivoiser à force de patience, elle mérite clairement le coup d’œil.

Une série créée par Jami O’Brien avec Ashleigh Cummings, Zachary Quinto, Olafur Darri Olafsson… Disponible depuis le 7 juin sur Amazon Prime Video

Cheveux : les décolorants seraient dangereux pour la santé

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S’il vous fallait une raison supplémentaire de ne pas décolorer vos cheveux, la voici. Selon l’Anses, les persulfates, les principes actifs contenus dans les décolorants, sont nocifs pour la santé. Et peuvent même entrainer des maladies respiratoires et cutanées.

Le 12 juin 2019, l’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, a publié une note dans laquelle elle alerte sur les persulfates, les principes actifs qui se trouvent dans les décolorants pour cheveux. Asthme, urticaire, eczéma, rhinite et même choc anaphylactique, une crise d’allergie si grave qu’elle peut engager le pronostic vital… plus de mille cas de pathologies plus ou moins graves ont été recensés par les experts entre 2001 et 2015. Les persulfates étant même la deuxième cause d'asthme chez les coiffeur.se.s en France. 

Une mise en garde qui concerne surtout les professionnels de la coiffure. "On voit rarement son coiffeur avec des gants et un masque", explique Matthieu Schuler, le directeur de l'évaluation des risques à l’Anses, à Franceinfo. Il recommande ainsi aux coiffeur.se.s de "réduire au maximum leur exposition". Pour les particuliers, le risque reste moindre, à moins d’utiliser régulièrement des produits décolorants chez soi. Mais on n'est jamais assez prudents : les experts de l’Anses préconisent tout de même de se protéger. À condition bien sûr de connaître les produits potentiellement dangereux ce qui, aujourd’hui encore, n’est pas le cas. "Aujourd'hui, réglementairement, il n'y a pas d'obligation en ce qui concerne les produits de décoloration pour les cheveux", regrette Matthieu Schuler qui, au nom de l’Anses, réclame un étiquetage obligatoire et des restrictions d’utilisation en France, comme en Europe puisque des données similaires ont été révélées au Royaume-Uni, au Danemark, aux Pays-Bas et en Allemagne. 

En 2040, nous ne mangerons quasiment plus de viande animale

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Si notre alimentation a déjà commencé à changer ces dernières années, il semblerait que notre manière de consommer change radicalement à l’horizon 2040. Une étude américaine affirme même que 60% de la viande que nous mangerons d’ici là sera synthétique ou végétale.

Galettes de soja, steaks de légumes ou encore viandes artificielles, les alternatives à la viande animale sont de plus en plus nombreuses. Et bien qu’en France, elles peinent à s’imposer sur le marché, elles pourraient faire partie intégrante de notre quotidien d’ici 2040. C’est en tout cas ce qu’affirme une étude publiée le 12 juin 2019 par le cabinet de conseil américain AT Kearney. Les experts prévoient que d’ici vingt ans, la viande sera majoritairement synthétique ou végétale. Déjà, à en croire le CREDOC, le Centre français de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie, sa consommation a baissé de 12% en France en dix ans. 

Ainsi, 60% de la viande que nous consommerons ne sera pas issue des animaux. Les scientifiques prévoient qu’elle soit remplacée par de la viande "de culture", la "fausse viande" (35%), par des produits à base de végétaux (25%) et même par des insectes. "Le secteur de l’élevage à grande échelle est considéré par beaucoup comme un mal inutile. Avec les avantages des nouveaux substituts vegan et de la viande in vitro, ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils ne prennent une part substantielle du marché", expliquent-ils. En effet, la production classique a aujourd’hui un impact écologique considérable et joue sur le dérèglement climatique, sur la disparition de certaines espèces et sur la pollution des rivières et des océans. 

L’enquête est cependant largement contestable, la viande synthétique nécessitant des cellules animales multipliées dans un bioréacteur alimenté au pétrole peu écologique. Surtout, la plupart des start-up qui se lancent dans le secteur aimeraient se tourner vers des techniques moins polluantes. Dans ces conditions, difficile de croire que sa production de masse puisse commencer dès 2021 comme l’indiquent les recherches du cabinet américain. Seule certitude : ce petit nouveau dans le secteur de l’agro-alimentaire risque de bouleverser bien des habitudes. 

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