Lunettes de soleil : 10 modèles à verres dégradés qui en mettent plein la vue
"Chernobyl" : le créateur de la série demande aux touristes de respecter le lieu
Nous le savions déjà, la série Chernobyla eu des conséquences assez inattendues. La série, qui provoque un boom touristique en Ukraine, en provoque également un sur Instagram. Depuis qu'elle recontre un succès rententissant, nombreux sont les touristes ou influenceurs, à se rendre sur les lieux de la catastrophe pour y prendre des selfies.
Ce qui n'a pas forcément plu à Craig Mazin, créateur de la série. "Si vous visitez [Tchernobyl], rappelez-vous qu’une terrible tragédie s’y est produite. Comportez-vous avec respect pour tous ceux qui ont souffert et qui ont été sacrifiés", a-t-il tweeté mercredi 12 juin.
It's wonderful that #ChernobylHBO has inspired a wave of tourism to the Zone of Exclusion. But yes, I've seen the photos going around.
— Craig Mazin (@clmazin) 11 juin 2019
If you visit, please remember that a terrible tragedy occurred there. Comport yourselves with respect for all who suffered and sacrificed.
Il est vrai que nombreuses sont les personnes qui tendent à glamouriser le lieu de la catastrophe (et donc, de la série), afin d'alimenter leurs comptes Instagram. Sourires éclatants, poses de champions, signes de la victoire... De nombreux observateurs des réseaux sociaux ont remarqué une certaine absence de décence.
Meanwhile in Chernobyl: Instagram influencers flocking to the site of the disaster. pic.twitter.com/LnRukoLirQ
— Bruno Zupan (@komacore) 9 juin 2019
Pendant ce temps, cette personne pose en string sur le site de Chernobyl. pic.twitter.com/lZEK7IfNIZ
— Mélody (@melody___t) 12 juin 2019
A noter que la mini-série événement de HBO fait revivre les heures tragiques de la catastrophe de Tchernobyl, en Ukraine soviétique, qui a eu lieu le 26 avril 1986. Le réacteur 4 de la centrale nucléaire a explosé, répendant un nuage radioactif à travers l'Europe. Plus de 200 000 personnes avaient été évacuées, laissant la ville de Prypiat fantôme.
Au Japon, le mouvement #KuToo veut libérer les femmes des talons hauts et du sexisme
#KuToo, c’est le hashtag japonais créé sur le même modèle que #MeToo. Composé de "Ku" pour kutsu (qui signifie chaussures) et kutsuu (qui signifie douleur), ce mot-dièse accompagne un mouvement féministe au Japon qui veut en finir avec l’injonction sexiste de porter des talons hauts sur son lieu de travail. Tout a commencé en janvier 2019, #KuToo apparaît pour la première fois lorsque Yumi Ishikawa, actrice et mannequin japonaise, s’indigne contre les patrons qui imposent aux salariées le port des talons hauts dans un tweet . "J’aimerais me débarrasser un jour de la coutume selon laquelle les femmes doivent porter des talons et des escarpins au travail. Quand j’étais hôtesse pendant un mois à temps partiel, je ne pouvais plus utiliser mes pieds à force de porter des talons hauts et j’ai arrêté ce travail", explique-t-elle. Le post devient viral avec plus de 68 000 retweets. Et des milliers de Twittas reprennent le hashtag pour partager leur expérience amère.
就活のパンプス本当に無くして欲しい。なんで女性だけなの?外反母趾や甲高幅広のせいで靴擦れしまくるんだよ。新大阪から5分歩いただけでこれだよ。外まで血だらけ…
— うどんちゃん@趣味垢 (@udondon1234) 13 mars 2019
パンプスは現代の纒足だよ。こんなの強制的に履かせるの間違ってる。なにがマナーだよ!!!健康的被害出てんだよ!!! pic.twitter.com/xh2JhW0JUY
Le mois suivant, Yumi Ishikawa affirme son engagement en lançant une pétition signée par plus de 30 000 personnes, pour que des mesures concrètes soient mises en place par le ministère de la Santé japonais afin de changer cette situation dangereuse. Car, en plus d’être une discrimination sexiste, le port de talons hauts au quotidien peut créer des blessures au niveau des chevilles, du talon et de la plante de pieds. Des douleurs qui peuvent remonter jusqu’aux articulations des jambes et sur la colonne vertébrale.
Au Japon, le mouvement #KuToo créé par Yumi Ishikawa ???????? dénonce la tradition qui veut qu’au travail les femmes portent des talons hauts. Dessinatrice Rika Asakawa pic.twitter.com/4aileiESXk
— Marie-Noëlle Lanuit (@mnlanuit) 25 mars 2019
Lundi 3 juin 2019, l’actrice a présenté cette pétition au gouvernement. Problème, ce règlement est tacite et perdure à cause de la pression des responsables hiérarchiques et à une mentalité ancrée dans la culture nippone. Pour Takumi, Nemoto, le ministre du Travail il n’y a donc pas lieu d’établir une loi. Celui-ci est même allé jusqu’à dire que l'obligation de porter des talons ne pouvait être assimilée à du harcèlement s'ils sont nécessaires dans le cadre professionnel. Toutefois, il a précisé que contraindre une femme à porter des talons alors qu'elle est blessée peut, en effet, être considéré comme du harcèlement... Face à cette réponse insatisfaisante, les internautes appellent Takumi Nemoto à porter des talons une journée entière pour mieux comprendre la souffrance des concernées.
Un vétéran et son amour de jeunesse s'offrent des retrouvailles après 75 ans
"C'est l'histoire de deux êtres qui ne se sont jamais oubliés". C'est ainsi que débute le reportage diffusé lors du 20H de France 2, le 10 juin dernier. Ces deux êtres, ce sont Kara Troy Robbins, vétéran américain, et Jeanine Pierson, née Ganaye. Ils ont vécu une histoire d'amour en 1944, et grâce à ce reportage, ils ont pu se retrouver 75 ans après leur idylle.
Pourtant, au départ, ces retrouvailles étaient loin d'être panifiées. Quelques semaines plus tôt, Maryse Burgot et Agnès Vahramian, journalistes pour France 2, préparaient un sujet sur l'anniversaire du Débarquement. En se rendant chez Kara Troy Robbins, il leur montre une photo vieille de 75 ans. Son amour de jeunesse, Jeannine Pierson, jeune Française de 18 ans dont il était amoureux à Briey, un village de Meurthe-et-Moselle. Mais deux mois plus tard, le soldat américain doit quitter le village, pour rejoindre le front de l'Est. "Je voudrais retourner là-bas, retrouver ma famille. Elle, je ne la verrai sans doute pas, elle doit être décedée", dit-il devant les caméras.
???? Document - Ils se sont rencontrés en 1944 puis la guerre les a séparés.
— Le 20Heures France2 (@20hFrance2) 10 juin 2019
75 ans après, ce vétéran américain franchit à nouveau l'Atlantique pour retrouver son amour de jeunesse en France. Leur tendresse et émotion sont intactes. pic.twitter.com/CMdch3NPoM
Mais elle est bien vivante. Les journalistes réussissent à localiser cette femme aujourd'hui âgée de 92 ans, et organisent des retrouvailles (bouleversantes). Les équipes accompagnent le vétéran jusqu'en France, et ce dernier retrouve son ancien amour Jeannine à la maison de retraite de Montigny-lès-Metz, en Moselle, où elle réside.
Ils discuteront pendant quelques heures, se remémorant leurs souvenirs du passe : "Je t'ai toujours aimée, toujours, tu n'as jamais quitté mon coeur", lui dit Jeannine. Elle confie même avoir pris des leçons d'anglais après le départ du vétéran, dans l'espoir qu'il revienne. Ils finissent par se dire au revoir, après moults rires et larmes. Mais d'après Maryse Burgot, journaliste derrière ces retrouvailles, Jeannine Pierson pourrait bientôt rendre visite à son amour de jeunesse aux Etats-Unis.
???????? / ???????? "Il y a aura peut-être un voyage pour Jeannine aux Etats-Unis !"@MaryseBurgot nous révèle comment s'est organisée la rencontre entre ceux qui s'étaient aimés il y a 75 ans. Et ce qu'ils ont décidé pour se revoir. pic.twitter.com/fcwqGAkbIN
— Le 20Heures France2 (@20hFrance2) 11 juin 2019
Men In Black : 5 raisons d’aller voir MIB International
1. L’univers fantastique de Men In Black est toujours aussi génial
Si vous aimez les gros flingues qui balancent des lasers de toutes les couleurs, les créatures étranges qui peuplent secrètement notre planète, les gros monstres qui font flipper et les costumes noirs, vous allez être servis ! Comme les épisodes précédents de la saga, MIB International surfe sur les codes fantastiques avec humour et des effets spéciaux au taquet. Le spectacle est là, pour notre plus grand plaisir.
2. Les gags et blagues à gogo raviront les amateurs
Si vous vous attendez à un humour intello à la Gaspard Proust, ce n’est pas vraiment le bon film. Mais si vous aimez les petites blagues mignonnes, les gags pétillants et les touches d’humour légères, vous serez ravis. Et même Chris Hemsworth s'abandonne à l’autodérision avec une franche réussite. Avec ses gros biscottos, il sait se faire "kéké" pour amuser la galerie... Parfois involontairement.
3. Un petit fond de féminisme qui fait du bien
Evidemment, le film ne tourne pas autour de ça. Mais il y a tout de même deux ou trois petites remarques qui diffusent un message clair : l’égalité homme/femme. Ainsi, Emma Thompson et Tessa Thompson (aucun lien), déplore que le nom de l’organisation soit « Men In Black » et non "Men and Women In Black". Et l’agent H, alias Chris Hemsworth, lance fièrement un "Nous sommes les hommes... Et femmes, en noir" en lançant un regard appuyé à son acolyte. On vous avait prévenu, il fait le kéké, oui.
4. On découvre les Twins sous un nouveau jour
Révélés par l’émission La France a un incroyable talent, le duo de danseurs les Twins ont explosé en devenant danseurs pour Beyoncé. Vous pensiez qu’ils s’arrêteraient là ? Faux ! Les Twins ajoutent une corde à leur arc en jouant dans MIB International. Certes, ils ne parlent pas des masses, mais cette apparition dans un blockbuster pourrait bien leur ouvrir de nouvelles portes. En tout cas, ils y sont très convaincants. Et oui, il y a un petit moment où leur talent pour la danse est mis en lumière.
5. Les bases sont posées pour faire des nouvelles suites
Avec MIB International, on sent sur les hommes (et femmes) en noir pourraient bien revenir pour de nouvelles aventures. Il s’agit très probablement du premier épisode d’une longue série de films où l’on pourrait voir aussi bien évoluer l’agent M, Tessa Thomson, à New York et l’agent H, Chris Hemsworth à Londres. Et pourquoi pas les faire se retrouver à nouveau…
Vacances : les 3 plus beaux hôtels où poser ses valises en Corse
L'hôtel Misincu
Après quelques kilomètres de routes sinueuses avec la mer d’un côté et les montagnes de l’autre, on arrive à l’hôtel Misincu. Havre de paix loin des touristes, l’établissement tout blanc propose des chambres et des villas avec piscine privée. Avec sa décoration sobre et apaisante, dominée par le bois, ce lieu permet de déconnecter dès votre arrivée. Massage au spa, séance intensive de bronzage au bord de la piscine, petits verres sur la plage en contrebas ou dîner avec vue sur la mer… Tout y est pensé pour apprécier la douceur de vivre qui règne en Corse. Tourné vers l’environnement et afin de préserver la nature du Cap Corse qui l’entoure, l’hôtel s’est vu attribué l’Ecolabel européen, en chauffant ses piscines à l’aide d’énergie solaire notamment. Récemment, l’établissement s’est doté d’un parcours de permaculture, sur le chemin qui mène à la plage, où poussent certains des fruits et des légumes cuisinés par les chefs du restaurant. On allait oublier, ne faites pas l’impasse sur le super petit-déjeuner !
Hôtel Misincu, Lieu-dit Misincu, 20228 Cagnano. A partir de 290 €.
Le Domaine de Murtoli
Etalés sur un domaine de 2 500m², la vingtaine de bergeries transformées en hôtel de luxe - toutes avec piscine privée - constituent un complexe unique en son genre. Trois restaurants, dont un étoilé, un parcours de golf, un spa sur la plage…. Vous ne quitterez pas ce lieu de votre séjour. Pour ceux qui ne tiennent pas en place, de nombreuses activités sont proposées comme de la pêche, les promenades à cheval, etc.
Domaine de Murtoli, Vallée de l'Ortolo, 20100 Sartène.
Le couvent de Pozzo
Ancien couvent du 15ème siècle et maison familiale depuis le 18ème siècle, le couvent de Pozzo est maintenant un hôtel hors du temps. Avec ses quelques chambres et sa décoration surannée mais bien pensée, cet établissement est un pied-à-terre pour les vacanciers à la recherche de calme. Et la piscine avec vue sur mer donne très envie de faire quelques brasses pour se rafraîchir...
Le couvent de Pozzo, Route du Couvent, 20222 Brando. A partir de 120 euros la nuit.
Suisse : pourquoi les femmes font-elles grève le 14 juin ?
"Plus de temps, plus d’argent, plus de respect". Ceci est le mot d’ordre de la grande grève des femmes, événement qui aura lieu en Suisse vendredi 14 juin 2019. Une manifestation dont plusieurs syndicats ont eu l’idée, ces derniers ayant échoué à introduire le principe de sanctions aux entreprises ne respectant pas l'égalité des salaires, lors de la révision de la loi sur l’égalité en 2018.
Cette marche est donc organisée afin que les femmes puissent réclamer plus de droits. Et ceci, 28 ans après la grande manifestation qui avait mobilisé un demi-million de femmes dans tout le pays, le 14 juin 1991, qui avait pour but de dénoncer les inégalités salariales.
Près de trente ans après, les choses n’ont pas réellement bougé. Les Suissesses ont un salaire en moyenne inférieur de 20% à celui de leurs homologues masculins, et à poste égal, il l’est de 8%. Mais en plus de dénoncer ces écarts, les manifestantes ont des revendications. Notamment l’instauration d’un salaire minimum pour les femmes, la tolérance zéro pour les violences sexistes, ou encore la stricte égalité des salaires, entre autres.
La grève des femmes, Suisse repetita est un documentaire en trois parties des journalistes @vtuaillon et @emiliegasc, co-produit par la @RadioTeleSuisse. Le premier épisode sort demain ! https://t.co/tMAc99w6Bk
— Programme B (@Programme_B) 10 juin 2019
Il est vrai qu’en Suisse, acquérir des droits pour les femmes a été un chemin périlleux. Le droit de vote leur a été accordé qu’en 1971, et ceci, après plusieurs refus. Soit 53 ans après l’Allemagne et le Royaume-Uni, et 27 ans après la France. "Les droits des femmes sont systématiquement bafoués et ignorés. Nous sommes en colère et avons décidé de ne plus nous laisser faire", peut-on lire sur le site officiel de la marche. En 1981, le principe d’égalité entre les femmes et les hommes est enfin inscrit dans la Constitution, mais n'est entrée en vigueur qu'en 1996. Le congé paternité n'est toujours pas autorisé. Une femme sur sept est licenciée à son retour de congé maternité. L’avortement n'a été dépénalisé qu’en 2002.
Reste à savoir si cette grève organisée dans toute la Suisse connaitra un aussi grand succès que celles organisées en Espagne, en Belgique, ou encore en France ces dernirs mois. En tout cas, on le souhaite.
"Russian Doll" : une saison 2 arrive sur Netflix !
La fête n’est pas finie. Natasha Lyonne (en ce moment dans Orange is the New Black saison 6) revient une énième fois d’entre les morts pour une nouvelle saison de Russian Doll(Poupée Russe en français). Une nouvellle que n’avait pas vu arriver les fans de la série. Pour marquer le coup, Netflix a joué avec les codes qui ont fait le succès du show pour mettre en scène l’annonce : "Joyeux anniversaire !" pouvait-on lire sur le post Twitter, soit la phrase que la meilleure amie de Nadia Vulvokov, Maxine, ne cesse de répéter à celle qui revit son anniversaire infiniment. La vidéo promotionnelle, elle, joue en boucle la même phrase : "Avez-vous vu la nouvelle ? Russian Doll Saison 2 arrive bientôt."
Sweet Birthday, Babyyy! #RussianDoll is coming back for Season 2. Let's get loopy. pic.twitter.com/kVmPsFG7M2
— Russian Doll (@RussianDoll) 11 juin 2019
De son côté Natasha Lyonne, l’actrice principale de la série, a dévoilé le retour surprise de Russian Doll avec une vidéo postée sur Twitter pas sans référence à la série. Elle est, comme à chaque fois qu’elle revient à la vie dans le show Netflix, devant un miroir dans une salle de bain, avec l’eau qui coule du robinet… Malin.
II @RussianDoll ???????????????? pic.twitter.com/eFrr3g0Vyj
— natasha lyonne (@nlyonne) 11 juin 2019
3 signes que vous êtes en burn-out, alors que vous adorez votre job
Ce mois de juin, dans sa onzième révision de la Classification internationale des maladies (ICD-11), l’OMS a spécifiquement rattaché le burn-outà un stress chronique lié au travail. Il précise d’ailleurs que c’est "un syndrome résultant d’un stress chronique au travail qui n’a pas été géré avec succès". Mais lorsqu’on adore son travail, est-on aussi attentif aux alertes qui préviennent d’un burn-out ? Voici 3 signes à guetter, même si on adore son job.
#1. Vous êtes tout le temps fatigué
L’un des principaux critères du burn-out est le "sentiment d’épuisement ou de perte d'énergie". Une fatigue qu’aucune bonne nuit de sommeil ne peut réparer. C’est par exemple se sentir vidé, fatigué et épuisé, même lorsque vous êtes avec vos amis et votre famille. Et surtout même si vous expliquez à tout le monde que "ok, ça me prend 12 heures par jour, mais j’adoooore ce boulot, je l'ai voulu, je l'ai eu! ". Attention, cet état de fatigue n'est pas une fatalité et surtout il n'est pas automatiquement livré avec votre job. La vocation, c'est bien mais si vous tirez trop sur la corde vous perdrez en épanouissement.
#2. Vous êtes cynique et amer
Pourquoi ? Parce que vous ne pensez plus que votre travail puisse faire la différence. Vous vous sentez inutile à ce poste que vous chérissiez pourtant si fort. La négativité et le cynisme s’empare de vous. Il se peut également qu'après avoir investit du temps et de l'energie dans une entreprise, vous viviez mal des départ ou bien des promotions. Pionnière dans le domaine de la psychologie du burn-out, Christina Maslach, professeure diplômée en psychologie à l'Université de Californie à Berkeley, a découvert qu’un manque d’équité au travail pouvait facilement entraîner le burn-out. "Si les personnes rencontraient des problèmes d'équité sur le lieu de travail, tels que favoritisme, inégalités injustifiées ou tricherie, ils pourraient être sujets au burn-out", déclare-t-elle. Si vous vous sentez négligé par votre lieu de travail, cela peut entraîner un sentiment d'impuissance acquise, qui vous fait perdre de la motivation et devenir plus passif. Et vous dénigrez, penser que vous n'êtes plus fait pour ce poste.
#3. Vous êtes moins efficace et tombez souvent malade
Être moins efficace au travail est une autre catégorie de burn-out. L'absentéisme, est aussi un signe. Il y aura toujours une bonne raison de ne pas être là, le plus fréquemment vous tomberez malade : un rhume, un virus… Que vous mettrez sur le compte du changement de saison ou de vos enfants, si vous en avez. Bien évidemment vous emportez votre laptop et vos dossiers, même au fond de votre lit alors même que votre N+1 vous l'a interdit... Rien n'est urgent et vous ne subissez pas de pression hiérarchique et pourtant... "On ne se refait pas!", lancerez-vous enjouée.
Interview : cinq choses à savoir sur Assa Sylla, révélation de "Skam France"
#1 Elle aurait voulu être danseuse…
Actrice ? Elle le devient presque par hasard. C’est grâce à un casting "sauvage" qu’Assa Sylla se retrouve sur le plateau de tournage de Bande de filles de Céline Sciamma, son tout premier film. Mais ses rêves sont ailleurs. "Au départ je voulais être danseuse. Je fais de la danse depuis que je suis toute petite." Toutes ses scènes de danse présentes dans la quatrième saison de Skam France ne viennent donc pas de nulle part. Mais elle renonce à son rêve, ayant (trop) les pieds sur terre. "Je me suis rendue compte que c’était dur d’être danseuse à temps plein. Et que ça pouvait être dur d’en vivre aussi."Alors l’interprète d’Imane change de voie et se tourne vers d’autres horizons.
#2… mais aussi journaliste
Finalement elle se voit journaliste, reporter d’images plus exactement. "Toute ma famille m’appelait ‘la journaliste’ car je parlais trop", nous raconte-t-elle en riant. Ce qui l’intéresse dans ce métier ? Voyager, être dans l’action, raconter des histoires. Des caractéristiques pas si différentes du métier d’actrice finalement. Et pas si loin non du plus du rôle d’Imane, qui à coup sûr, fait plus que raconter une histoire, mais aussi nous pousse à réfélchir sur des idées préconçues.
#3 Skam France, une saison inspirée de sa vie
La quatrième saison de Skam France, saluée de toutes parts, a mis à l’honneur le personnage d’Imane, femme Noire et musulmane. Une saison bien loin des clichés facile auxquels toute autre fiction aurait pu tomber. Car avant l’écriture du scénario, Assa Sylla s’entretient longuement avec le réalisateur et les scénaristes de la série. "On a parlé trois heures. On m’a posé des questions sur ce que c’était d’être femme noire et musulmane en France, alors j’ai raconté ma vie", nous confie l’actrice. Et la saison 4 est née. Une histoire, des dialogues, des situations, qui ont d’ailleurs eu un impact fulgurant sur le public français. A l’image d’une scène, où en l’espace de seulement trois minutes, son personnage elle réussit à expliquer le racisme latent et à dénoncerl’exotisation des personnes racisées.
#4 Noire n’est pas son métier
Après avoir tourné dans Bande de Filles, et avoir joué dans un biopic de la boxeuse Aya Cissoko, Assa Sylla vit une période de creux, entre 2016 et 2018. "Je n’avais pas assez d’opportunité, et quand j’en avais, c’était en grande majorité pour des rôles caricaturaux." Alors Aissa Maïga lui propose de coécrire l’ouvrage Noire n’est pas mon métier, essai collectif qui dénonce les discriminations et stéréotypes dont les actrices françaises noires font objet dans le milieu du cinéma. "Je n’ai pas hésité une seule seconde. J’ai de la chance d’être représentée par ce que je fais. Ce n’était pas un cri de colère, mais un constat. Et ce constat, personne ne le fera pour nous, autant le faire nous-mêmes."
#5 Assa et Imane : des modèles pour toute une génération ?
Avec son rôle d’Imane, c’est la première fois qu’une femme noire, musulmane, et voilée, devient l’héroïne d’une fiction française sur le service public. "C’est un honneur d’avoir ce rôle. C’est jusqu’ici le meilleur que j’ai pu jouer", confie l’actrice, elle qui, jusqu’à il y a peu, ne se rendait pas compte de l'impact de son personnage. Car même pour elle, qui joue un rôle pareil, cela fait du bien d’être, mais aussi de se voir enfin représentée sur les écrans français. De devenir un modèle pour des milliers de femmes. "J’ai reçu des centaines de messages de personnes qui me remercient, qui me disent avoir compris ce que peut être le quotidien d’une femme comme moi". Sobrement rebaptisée "Queen Imane" par toute une base de fans, le personnage d'Assa Sylla, tout comme cette dernière, n'ont pas fini de faire parler d'elles. Puisque l'actrice de 23 ans nous confie avoir plusieurs projets en cours.
'Jeux d’influence' : la série qui dénonce le poids des lobbys
Vous savez quoi regarder à la télé ce jeudi 13 juin 2019 au soir sur Arte, et tous les jeudis pendant les trois prochaines semaines.Jeux d’influence, une série imaginée par le documentariste Jean-Xavier de Lestrade, est un bijou. S’il s’agit d’une fiction, les réalisateurs ce sont très largement inspirés des scandales phytosanitaires qui secouent l’actualité depuis plusieurs années. Elle est en effet construite autour d’histoires vraies comme celle de Paul François, cet agriculteur qui accuse Monsanto d’être responsable de son intoxication au désherbant il y a 15 ans ou encore celle du professeur Séralini, qui prouvait la toxicité d’un maïs aux OGM dans une étude, en 2012. Il aura fallu plusieurs années de recherches, de témoignages et d’écriture aux scénaristes et réalisateurs pour sortir une série aussi réaliste.
Ce monde complexe est décrit dans un rythme haletant. Un excellent moyen d’en apprendre davantage sur ce milieu, grâce aussi à des acteurs plus que convaincants. Alors, qu’est-ce qui vous retient ?
Deux épisodes de la série sont diffusés sur Arte à partir de jeudi 13 juin 2019 à 20h55, et pendant trois semaines. Les six épisodes sont d’ores et déjà disponibles sur arte.tv.
Fantasmer de tuer son.sa boss est tout à fait normal
La hiérarchie imposée ? Quel calvaire pour tout employé.e. S’entendre avec son.sa boss n’est pas toujours tâche facile et s’assujettir quotidiennement à ses directives (et parfois sautes d’humeur) peut clairement faire vriller. Qui ne s’est jamais imaginé.e tuer son.sa boss après un petit rappel à l’ordre ? Selon Julia Shaw, psychologue criminelle à l’University College London interrogée par The Independent, fantasmer de tuer son.sa boss n’a rien de honteux, au contraire, ce serait une activité excellente pour la santé mentale, du moins, qui ferait de vous quelqu’un de normal.
Selon l’experte, cet exercice serait même révélateur d’empathie envers sa victime imaginaire. "Vous réfléchissez, vous imaginez quelles en seraient les conséquences, ce que cela pourrait être de passer au travers", explique Julia Shaw. Pour au final, se rendre compte que les conséquences de cet acte ne sont pas celles souhaitées. Et c’est cette capacité à dissocier les actions de leurs conséquences qui ne fait pas de celui.celle qui fantasme de tuer son.sa boss un psychopathe.
Un nouveau film sur les Spice Girls est en préparation
Les Spice Girls sont bel et bien de retour. Alors qu'elles sont en ce moment même en tournée, le studio de production Paramount Animation a annoncé qu'un film d'animation sur le groupe mythique va voir le jour en 2020.
Comme le relate Hollywood Reporter, le film sera réalisé et produit par une équipe composée majoritairement des femmes, il sera l'occasion pour les cinq artistes (oui, même Victoria Beckham sera de la partie) de révéler des chansons inédites. Bien évidemment, on pourra y retrover quelques uns de leurs titres mythiques, à l'instar de "Wannabe".
Elles seraient elles-mêmes à l'origine de ce projet. "Elles avaient déjà une idée qu'elles souhaitaient développer à nos côtés", a expliqué Mireille Soria, productrice à Paramount Animation. Le Guardian en dit plus sur le synopsis de ce long-métrage, en rélévant que les Spice Girls y joueront de super-héroïnes. Comme ce qu'elles sont dans la vraie vie.
Pour rappel, Spice World, leur premier long-métrage sorti en 1997, a non seulement rapporté 151 millions de dollars au box office mondial, mais est aujourd'hui considéré comme un film culte, en dépit des critiques.
Hypernature : le rooftop éphémère dédié au champagne
Du soleil, une belle vue et une coupe de champagne. Voilà la belle idée de Perrier-Jouët pour célébrer l’arrivée de l’été. Du 17 au 23 juin 2019, la maison ouvre son propre rooftop éphémère dans le 18ème arrondissement de Paris. Le midi et le soir, le restaurant la Table HyperNature d’Akrame proposera un menu spécialement pensé par le chef étoilé Akrame Benalla. Le soir, il sera également possible de réserver une place pour siroter du champagne au bar, avec un panorama sur la capitale. Une expérience qui fait pétiller le quotidien.
Hypernature, du 17 au 13 juin. 1 Rue Forest, 75018 Paris.
Étude : en amour, sommes-nous toujours attirés par les mêmes profils ?
Blond, grand, généreux, colérique, dégarni… Vos amoureux défilent mais finalement se ressemblent. Vous vous en doutiez peut-être mais oui, lorsqu’on se cherche une moitié, nous serions bien coincés dans des goûts très définis. Et qui ne changent pas tellement. "Le degré de ressemblance d’une relation à l’autre suggère que les gens peuvent effectivement avoir un 'type'", déclare Geoff MacDonald, professeur de psychologie à l’Université de Toronto et co-auteur d’une nouvelle étude sur le sujet. L’étude, publiée dans la revue PNAS, a travaillé sur les données d’une étude allemande menée pendants 9 ans sur 332 personnes. Sans appel, les résultats ont indiqué aux auteurs qu’il existe des schémas clairs dans le choix des futurs amoureux, basés sur les critères des partenaires passés.
L'étude a également révélé que les gens ont tendance à sortir avec ceux qui se ressemblent, d'une manière ou d'une autre. L’un des participants, Sy Deunom, ingénieur d’exploitation de 23 ans à Philadelphie, témoigne être attiré par les hommes à forte pilosité quand lui a du mal à faire pousser sa barbe : "J’ai l’impression que c’est une compensation mais je n’aime pas l’admettre". Ariel Dineen, chercheuse âgée de 23 ans dans un hôpital pour enfants, constate quant à elle être attirée par le même profil et rapporte ça à une une sorte de catharsis : "J'ai l'impression que nous essayons de trouver ces types parce que nous essayons de revivre ou de corriger des situations précédentes. C’est une façon d’amender, dans l’espoir d’une nouvelle fin". Et vous alors, avez-vous un "type"?
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Les jeunes sont de moins en moins accros au tabac
Chez les jeunes, la cigarette perd du terrain. C’est le constat d’une étude de l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies menée auprès de 20 000 jeunes, publiée le mardi 11 juin. Selon l’organisme, les lycéens interrogés sont 17,5% à fumer au moins une cigarette tous les jours. Ce chiffre s’élevait à 23,2% en 2015. Et les jeunes n’ayant jamais touché à la cigarette lui aussi est en hausse. Ils sont 53% a déjà avoir fumé en 2018, alors qu’ils étaient 60% dans ce cas en 2015.
En revanche, le cannabis lui est toujours aussi populaire à la sortie du lycée. Et pour certain sa consommation a débuté dès le collège. 16% des élèves en classe de troisième fume de la drogue. À la fin du lycée, 6,8% des terminales sont des consommateurs réguliers de cannabis. En ce qui concerne l’alcool, sans surprise, les chiffres s’envolent. Dès l’entrée au collège, plus de quatre élèves collégiens sur dix en ont déjà goûté. En terminale, ils sont près de 90% à en avoir déjà bu. Des chiffres inquiétants lorsque l’on sait que l’alcool est responsable de 22% des décès chez les personnes âgées entre 15 et 34 ans.
"Catherine et Liliane" ne reviendront pas à la rentrée...
Après 7 ans de sketchs, Catherine et Liliane ont décidé de quitter la vie active. Alex Lutz a annoncé la fin du programme lors d'une interview accordée au Parisien et publiée le mercredi 12 juin 2019. Une décision prise par les deux comédiens, Alex Lutz et Bruno Sanchez, "tant qu'il n'y a pas d'usure". Résultat, les deux commères feront officiellement leur pot de départ le 5 juillet 2019 sur Canal Plus avant de couler des jours paisibles loin des caméras.
Mais cela ne signifie pas pour autant qu'Alex Lutz et Bruno Sanchez quittent la chaîne cryptée. Ils seront à l'antenne "pour de nouveaux projets", à la rentrée.
Chanel devient plus green en soutenant la start up éco-responsable Evolved By Nature
En décembre 2018, Chanel annonçait ne plus employer de vraie fourrure, peau de crocodile, serpent et autres peaux exotiques dans ses collections pour des questions éthiques. "Chez Chanel, nous évaluons en permanence nos filières d'approvisionnement afin de nous assurer qu'elles répondent à nos exigences en matière d'éthique et de traçabilité. Or, il nous est de plus en plus difficile de nous procurer des peaux exotiques [...] correspondant à nos exigences en matière d'éthique", précisait au Figaro le président de Chanel, Bruno Pavlovsky. En parallèle, la maison française investissait dans la société finlandaise Sulapac - qui lutte contre l’accumulation de plastique à travers un nouveau matériau composé d’éléments biodégradables - pour son pole cosmétique.
Ce 11 juin 2019, la marque a fait un nouveau pas en avant vers une mode plus responsable en investissant dans la start up Evolved By Nature. Fondée en 2013 à Boston par Gregory Altman et Rebecca Lacouture, Evolved by Nature, spécialisée dans la science de la soie, a créé Activated Silktm, de la soie pure et naturelle sous forme liquide qui améliore naturellement les propriétés du tissu et permet de promouvoir des modes de production plus viables. "Nous sommes ravis de compter sur le soutien de Chanel et de tirer parti de son expertise en matière de mode et de beauté, et aussi d'accélérer la commercialisation de notre plate-forme chimique naturelle Activated Silktm", souligne Greg Altman, chef de la direction et cofondateur. Du côté de Chanel, on se félicite de ce nouveau partenariat qui permettra à la division mode du groupe d’utiliser des matériaux innovants et plus respectueux de l'environnement.
Job : 5 conseils pour rembarrer un collègue sexiste
#1 Le "mansplainer"
Ce collègue n’est pas méchant (quoi que), il a juste une fâcheuse tendance à régurgiter exactement ce que vous venez de dire et à expliquer mot pour mot la stratégie que VOUS avez mise sur pied. Théorisé par l’essayiste féministe Rebecca Solnit*, le mansplaining se vérifie souvent en réunion. Chaque prise de parole masculine s’apparente à un concours de b***s et le "mansplainer", sexiste dans l'âme, a bien l’intention de montrer qu’il en a une plus grosse que vous.
N’hésitez pas à le remettre à sa place : "J’adore tes commentaires sur mon travail. Peut-être que tu pourrais me les envoyer par mail ? J’y jetterai un œil à l’occasion."
#2 Le plagiaire
Contrairement au "mansplainer" qui aime se faire mousser, le plagiaire agit dans l’ombre. Son credo : se faire oublier pour mieux chiper vos idées. Il les fait ensuite passer pour siennes auprès de vos collègues et récolte ainsi tous les lauriers. C’est d’autant plus rageant quand le piqueur d’idées est votre boss et qu’il se sert de votre boulot pour grimper les échelons hiérarchiques.
Pour le contrer sans vous griller, mieux vaut consigner les mails prouvant que c’est vous la tête pensante du projet. Vous pouvez aussi vous dégoter des allié.e.s dans votre équipe, histoire qu’ils/elles rappellent votre rôle essentiel pendant les réunions stratégiques.
#3 Le paternaliste
Souvent plus âgé que vous, il n’a pas son pareil pour débiter des stéréotypes éculés sur les femmes, vous donner du "ma petite" à toutes les sauces et vous infantiliser en vous comparant à sa fille. Le pire ? Quand il vous prend pour sa secrétaire et vous demande de prendre des notes à sa place en réu’.
Quitte à froisser son ego de mâle sensible, rappelez-lui devant tout le monde que vous n’avez pas été embauchée pour servir des cafés. Vous pouvez aussi jouer la nulle, comme le conseille la gender editor du New York Times, Jessica Bennett** : "Je serais ravie te servir un café si seulement je savais le faire." Visiblement, ça fonctionne.
#4 Le blagueur lourd
Vous connaissez la blague de la blonde dans un ascenseur ? Hélas oui, car il vous l’a déjà racontée (plusieurs fois). Non seulement pas drôle pour un sou, ce collègue expert en sorties graveleuses se retranche systématiquement derrière l’argument "Rho ça vaaaa, on peut plus rien dire" quand vous lui faites remarquer que sa réflexion n’a rien d’amusante.
À la place, vous pouvez plutôt feindre ne pas avoir compris son humour douteux, et lui demander de la répéter. Rien de tel pour mettre le boute-en-train mal à l’aise et lui faire comprendre que sa remarque était inappropriée. Bonus : ça fonctionne aussi avec les "blagues" racistes.
#5 Le harceleur
Quand il ne lorgne pas dans votre décolleté, ce sale type vous envoie des mails à caractère sexuel, fait des allusions à votre vie intime et commente régulièrement votre tenue vestimentaire. Attention, ce collègue n’est pas seulement un gros lourd : c’est un harceleur sexuel.
Dans ce cas, une seule mesure s’impose : en parler à la direction, aux délégués du personnel (CSE) ou aux RH pour briser l’omerta dont il profite pour agir en toute impunité. Vous n’êtes peut-être pas sa seule victime. Pour rappel, les auteurs de harcèlement sexuel encourent une peine de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000€ d’amende.
* Rebecca Solnit, Ces hommes qui m’expliquent la vie, éd. de l’Olivier.
** Jessica Bennett, Le fight club féministe, Manuel de survie en milieu sexiste, éd. Autrement.