RCS, pour Rich Communication Services est le successeur du SMS. Google l’activera automatiquement, sans attendre les opérateurs, à la fin du mois de juin en France et au Royaume-Uni sur les smarphones Android (Samsung, Huawei). Une mise à niveau fortement appréciable qui vient talonner les iMessage présents sur les iPhone depuis 2011. Les avantages des RCS sont les suivants : accusés de réception, des images et vidéos envoyées et reçues en haute qualité, de véritables conversations de groupes (même plus besoin de Whatsapp, Snapchat ou Messenger) ainsi que la possibilité d'échanger via son réseau Wi-Fi. Seul hic, contrairement à la messagerie d’Apple, les conversations ne seront pas chiffrées. Google a précisé à The Verge que les messages ne seront pas stockés sur ses serveurs. Mais les photos et les GIF, si… Quoi qu’il en soit, une fois l'activation effectuée par Google, les utilisateurs devront lancer le réglage manuellement dans l’application Messages.
Android va (enfin) avoir droit à son concurrent d'iMessage
Réchauffement climatique : cette photo inquiétante de la fonte des glaces fait le tour du web
Steffen Olsen, scientifique danois de l’Institut de météorologie, a fait rêver les Internets via une photo postée sur Twitter le 14 juin 2019. Prise au centre du fjord d’Inglefield, au nord-ouest du Groenland, ce cliché montre un paysage époustouflant, presque irréel, de chiens de traineaux qui ont l’air de marcher sur l’eau. Mais si l'image fait tant rêver, sa face cachée est bien plus dramatique : la fonte des glaces, et dans ce cas, le fjord qui prend l’eau.
@SteffenMalskaer got the difficult task of retrieving our oceanographic moorings and weather station on sea ice in North West Greenland this year. Rapid melt and sea ice with low permeability and few cracks leaves the melt water on top. pic.twitter.com/ytlBDTrVeD
— Rasmus Tonboe (@RasmusTonboe) 14 juin 2019
Interrogé par FranceInfo, Steffen Olsen a expliqué que la partie la plus haute de la glace avait fondu, mais que celle située en dessous, "plus froide, n’a pas été touchée par le réchauffement des eaux de surface ou des océans", a-t-il confié. Un phénomène inquiétant, qui n’est pas encore une généralité mais qui tend à s’intensifier au rythme du réchauffement climatique. "L’inondation telle qu’on la voit ici est quelque peu inhabituelle même si un évènement isolé ne peut pas être considéré comme une généralité. Mais cette photo a été prise un jour où l’ensemble du Groenland a connu une fonte record", précise le Danois.
Près de la moitié des Français.es estiment encore que la victime a sa part de responsabilité dans un viol
L’association Mémoire traumatique et victimologie a souhaité mesurer si les représentations des Français.es sur le viol et les violences sexuelles avaient changé au lendemain de #MeToo. L’enquête, menée sur 1 000 personnes par Ipsos et dévoilée en ce mercredi 19 juin dans 20 Minutes, révèle des chiffres inquiétants.
Tout d’abord, et c’est certainement le plus grave, les victimes de viol seraient de plus en plus remises en cause. On appelle cela le victim-blaming. Alors comment cela se traduit-il ? Pour 42% des sondés, la responsabilité du violeur serait atténuée si la victime a eu une attitude provocante en public. On ne sait pas ce que signifie "avoir une attitude provocante", mais on imagine qu’il s’agit d’images très erronées… Ensuite, 31% d’entre eux considèrent qu’une victime de viol est en partie responsable si elle a déjà eu des relations sexuelles avec l’agresseur. Un chiffre en augmentation de 4 points depuis 2015. Pour 37% des Français.es, les victimes accuseraient également souvent leur agresseur à tort uniquement par déception amoureuse ou soif de vengeance. Soit plus d’un tiers des sondés … Enfin, 28% d’entre eux pensent que beaucoup de viols ayant fait l’objet de plaintes n’en sont en fait pas.
Une ignorance du sujet
En plus de remettre en cause la parole des victimes, les sondés ont également une très mauvaise connaissance du sujet. Selon l’association Mémoire Traumatique et Victimologie, "la violence sexuelle reste perçue par l’opinion sous l’angle de la sexualité, du désir ou de la pulsion, voire considérée comme un malentendu." Plus d’un tiers des Français.es imagineraient donc qu’un viol a le plus de risque d’intervenir après 18 ans. C’est faux, 51% des victimes déclarent avoir subi les premières violences sexuelles avant 11 ans, et 81% avant 18 ans.
Plus d’un sondé sur deux imagine aussi que c’est dans l’espace public que l’on court le plus de risque d’être violé.e. C’est également faux : 90% des viols sont commis par des proches de la victime.
Toutefois, tous les chiffres issus de cette étude ne sont pas aussi négatifs. Pour 83% des personnes interrogées, le mouvement #MeToo a contribué à la libération de la parole des femmes et renforcé leur capacité à porter plainte. 69% d’entre eux pensent qu’elles trouveront plus de soutien dans leur entourage et avec les témoins. Enfin, il sont 57% à penser que #MeToo améliorera peut-être les relations entre les femmes et les hommes.
Nasty Gal x Emily Ratajkowski : 5 pièces dont on a vraiment envie
Après une collaboration réussie avec le mannequin et it-girl française Lena Simonne, la marque Nasty Gal passe à la vitesse supérieure. Cette fois-ci, elle a jeté son dévolu sur Emily Ratajkowski alias Emrata. Un choix audacieux qui fait sens. En effet, le mannequin, actrice, et militante (la liste est encore longue), reflète parfaitement l'esprit désinvolte et éclectique de la marque de prêt-à-porter.
© Nasty Gal
Ici, les genres se rencontrent et vivent en parfaite harmonie, à coups de tailleurs étonnement sobres, de petites robes légères idéales pour les vacances et de tops qui dévoilent juste ce qu'il faut. Et si tout va comme un gant à Emily Ratajkowski, pas de panique. Les tailles vont du 0 au 20, ce qui équivaut à un 52 français. Seul hic, la collection est en édition limitée.
Voici nos 5 pièces préférées (et déjà soldées) à shopper dès maintenant :
© Nasty Gal
Ensemble blazer et pantalon oversize, Nasty Gal x Emrata, 66 € et 48 €.
© Nasty Gal
Veste ample ceinturée en similicuir, Nasty Gal x Emrata, 84 €.
© Nasty Gal
Jupe midi en satin martelé, Nasty Gal x Emrata, 36 €.
© Nasty Gal
Top bustier en satin à nœuds, Nasty Gal x Emrata, 42 €.
© Nasty Gal
Chemisier en lin à nouer, Nasty Gal x Emrata, 42 €.
La collection Nasty Gal x Emrata est disponible dès maintenant sur le site Nastygal.com
Out d’or 2019 : le palmarès qui célèbre la visibilité des identités LGBTI+
C’est à Paris dans un Cabaret Sauvage en surchauffe que la troisième cérémonie des Out d’or a eu lieu hier soir, mardi 18 juin 2019. Remplie de tous bords par 600 personnes – dont Marlène Schiappa -, la salle parisienne a eu l’honneur de recevoir un journalisme français et international qui soutient la lutte LGBTI+, ainsi que de nombreuses personnalités LGBTI+ françaises. Le mot d’ordre de la cérémonie - organisée par l’Association des journalistes LGBT (AJL) - était de récompenser médias, journalistes et artistes pour une meilleure représentation de ces personnes trop souvent silencées dans l’espace public. La journaliste Nora Bouazzouni et l’humoriste Tahnee ont animé cette soirée durant près de deux heures, doublées d’une interprète en langage des signes. Cette cérémonie était placée sous le signe de la célébration d’identités plurielles, de genre et sexuelles.
Cette année, la cérémonie des #OUTdor2019 est présentée par @norabz et @tahneelautre, et en musique ! #OUTdor2019pic.twitter.com/KH5v9ihhid
— AJL (@ajlgbt) 18 juin 2019
Premier temps fort, la remise de l’Out d’or de la personnalité LBGTI de l’année : Bilal Hassani, acclamé par la foule, dont le discours retentissant a rappelé que le combat était loin d’être terminé. Le chanteur a notamment raconté que sur son chemin pour la cérémonie, lui et sa mère s’étaient précipités vers la salle par peur de se faire agresser.
.@iambilalhassani : "Il y a des gens qui disent : "Regardez, c’est bon il y a un homosexuel avec une perruque qui participe à l’Eurovision", mais ce n’est pas vrai, il y a encore des gens qui souffrent, des gens qui meurent.” #OUTdor2019pic.twitter.com/JuWGMpYWVY
— AJL (@ajlgbt) 18 juin 2019
Second temps fort de cette soirée : un hommage aux vétérans des émeutes de Stonewall, à l’origine du militantisme LGBTI d’aujourd’hui, dont on fête les 50 ans cette année. Flavia Rando et Fred Sargeant ont reçu un Out d’or d’honneur sous une ovation du public, et nous ont ému par leur courage.
Nous sommes ravi⋅e⋅s d’accueillir deux activistes étatsunien⋅ne⋅s pour saluer le cinquantième anniversaire des émeutes de Stonewall : @FredSargeant et Flavia Rando #OUTdor2019pic.twitter.com/1ut67NEwDm
— AJL (@ajlgbt) 18 juin 2019
Vient alors la remise du prix de la "rédaction engagée", catégorie dans laquelle Glamourétait nommée. La concurrence étant rude, c’est le magazine l’Équipe qui remporte le prix, des mains de l’acteur Bruno Solo. Le média s’était distingué en mai dernier grâce à sa Une montrant deux coéquipiers de l’équipe de water-polo gay des Crevettes Pailletées qui s’embrassent. Une couverture qui a touché 4 millions de personnes.
Retrouvez la cérémonie en intégralité ici !
Le palmarès complet :
Meilleur podcast : "Miroir Miroir" de Jennifer Padjemi
Coup d'éclat artistique : l'album Crave de Léonie Pernet et la saison 3 de Skam France
Documentaire : "Les transidentités, racontées par les trans", de Perrine Kervran et Annabelle Brouard
Enquête/reportage : "Adoption par les couples homosexuels : «Uniquement pour des enfants atypiques» en Seine-Maritime", de Coralie Moreau (France Bleu Normandie)
Personnalité LBGTI de l'année : Bilal Hassani
Presse étrangère – Prix Xulhaz Mannan : Raseef22 (Liban)
Rédaction engagée : Le magazine L'Equipe
Sport : Alexia Cerenys
"Game of Thrones" : le tournage du prequel de la série a commencé
La saison 8 de Game of Thrones avait en grande partie déçu les spectateurs. Mais cette nouvelle réjouissante donnera du baume au cœur aux fans : c’est officiel, le tournage du prequel de Game of Thronesa commencé. C’est le magazine Entertainment Weekly qui a dévoilé les détails sur le début des prises de vues de la série, qui devrait porter le nom de The Long Night(c’est également le titre de l’épisode 3 saison 8 de Game of Thrones). Le lieu du tournage aussi a été révélé : l’Irlande du Nord. La région avait également été le centre de production de nombreuses scènes de la série mère.
Ce prequel sera réalisée par S.J. Clarkson (Jessica Jones), le showrunner Jane Goldman (X-Men : First Class) aux côté du créateur de la franchise George R.R. Martin. Coté casting, on retrouve une belle brochette de stars. Naomi Watts (King Kong) Naomi Ackie (Star Wars), Denise Gough (Colette), Miranda Richardson (Harry Potter 4), Josh Whitehouse, Jamie Campbell Bower (Twilight), Sheila Atim, Ivanno Jeremiah (Humans), Alex Sharp (Le Coup du Siècle) et Toby Regbo (Un jour). De quoi nous donner l’eau à la bouche.
"Au nom de la terre": Guillaume Canet méconnaissable dans son nouveau film
Après le succès de Nous finirons ensemble, Guillaume Canet compte enchaîner avec Au nom de la terre dont la sortie est prévue le 25 septembre. Un film qui poserait un regard nouveau sur le monde de l'agriculture et son évolution lors des 40 dernières années.
Afin de faire monter la pression, le réalisateur et acteur a posté sur son compte Instagram, mercredi 19 juin, une photo de lui assis dans un tracteur et habillé en agriculteur. Mention spéciale pour la moustache. Voyez plutôt.
#SIA2019@guillaumecanet est présent au Salon de l'agriculture pour aider les agriculteurs en détresse avec l'association "Solidarité Paysans". pic.twitter.com/117jRr62iL
— Public Sénat (@publicsenat) 23 février 2019
C'est officiel : le string revient sur le podium de la fashion week
Paris, le Grand Palais. Heron Preston présentait son défilé printemps/été 2020 devant Bella Hadid, Virgil Abloh, ou encore le chanteur Maluma, qui a sorti un duo avec Madonna. Fidèle à son style, le créateur a présenté un vestiaire workwear, composé de vestes multipoches, pantalons cargo, cyclistes et sacs banane, mélangé à des pièces plus chics. Dans cette collection hommage à New York, plusieurs silhouettes sont issues de l'upcycling : des matières des collections précédentes ont été réutilisés, notamment le nylon, le tweed et le cuir d'ananas. Au milieu de cette ribambelle de looks, une pièce a retenue notre attention : un string dépassant volontairement du pantalon d'un mannequin. Sur le podium de Versus Versace automne/hiver 2018, le string avait déjà été remis au (mauvais ?) goût du jour par Donatella Versace. La créatrice avait profité de la fashion week londonienne pour le revisiter et en avait d'ailleurs fait l'une des pièces stars de son show : Stella Maxwell y portait un string avec un pull crop top rose et bleu, façon année 2000. Idem chez Philipp Plein lors de la fashion week milanaise printemps/été 2019, le créateur avait fait défiler des mannequins en cuissardes et... strings à strass. Bien que remis au goût du jour par les créateurs dans leur collection de prêt-à-porter, doit-on pour autant suivre toutes les tendances ? Cette fois-ci, la mode opèrera sans nous...
Travail : les inégalités femme-homme persistent même après une grande école
Lorsqu’on est une femme, fraîchement diplômée d'une grande école, trouver rapidement un travail bien payé apparaît comme une évidence. Or, selon l’étude annuelle de la Conférence des grandes écoles (CGE), réalisée auprès de 190 institutions, l’égalité femme-homme sur le marché de l’emploi est encore loin d’être atteinte, y compris après l'obtention d'un diplôme d'une grande école d’ingénierie ou de management. En effet, d’après ces recherches, une femme toucherait en moyenne 6,1% de moins qu’un homme. Et ce, simplement car les femmes avec un statut de cadre sont sous-représentées. L’étude révèle aussi que les femmes sont moins fréquemment embauchées en CDI.
Un marché dynamique
Globalement, le marché du travail est en bonne santé et les embauches sont nombreuses. A tel point qu'il n'y a pas assez de diplômés de grandes écoles pour occuper les postes à pourvoir. En effet, les établissement ne souhaitent pas ternir leur image élitiste en gonflant leurs effectifs. Côtés salaires, la progression est également notable. Ainsi, en 2018, les jeunes employés avaient un salaire supérieur de 2,34%, par rapport à l'année précédente.
"The Circle" : la première télé-réalité de Netflix France lance son casting
Même NetflixFrance se met à la télé-réalité. Le bureau français de la plateforme de streaming en ligne a annoncé l’ouverture du casting de The Circle, première télé-réalité du service. Une adaptation de l’émission anglaise du même nom.
Ce format confronte une quinzaine de candidats dans un huit clos d’un immeuble londonien. Mais à la différence des émissions d'enfermement Big Brother ou Secret Story, chacun vit seul dans son propre appartement et interagit avec ses voisins. Le tout grâce à une application dédiée dans laquelle ils peuvent configurer leur profil comme bon leur semble. C’est-à-dire, tel qu’ils sont vraiment, ou pas du tout.
Une rencontre entre Black Mirror, Big Brother, et Catfish, où des personnes cherchent l’amour sur internet. Dans chaque épisode, les candidats se notent mutuellement et les deux meilleurs deviennent "influenceurs". Ces derniers auront le pouvoir de "bloquer" un de leurs concurrents, provoquant une élimination. Avant de partir, le candidat sortant a la possibilité de rencontrer celui de son choix, et ainsi, découvrir sa véritable identité.
Pour s’inscrire à l’émission, Netflix France propose un formulaire en ligne. En clair : les candidats doivent être de nationalité française, avoir 18 ans ou plus au 1er novembre 2019, et ne doivent pas avoir connaissance de "comportement passé qui pourrait affecter la capacité à voyager au Royaume-Uni", entre autres. Intéressé.e.s, vous savez quoi faire.
Mariage : 12 paires de boucles d'oreilles délicates pour le jour J
Pour donner de l’éclat à votre tenue le jour J, voici une sélection de boucles d'oreilles dorées et teintées de blanc qui épouseront au mieux votre robe de mariée : © LÕU.YETU
Boucles d'oreilles en plaqué or et perle, Lõu.Yetu, 71 €,
© Net-a-porter.com
Boucles d'oreilles en plaqué or et perles d'eau douce, 14 / Quatorze sur Net-a-porter.com, 181 €.
© Anissa Kermiche
Boucle d'oreille en perles d'eau douce, or jaune et diamants gris, Anissa Kermiche, env. 478 € l'unité.
© Gas Bijoux
Boucles d'oreilles dorées à l'or fin, ornées de perles de nacre, Gas Bijoux, 120 €.
© Net-a-porter.com
Boucles d'oreilles à clip en perles synthétiques et cristaux, Kenneth Jay Lane sur Net-a-porter.com, 85 €.
© Médecine Douce
Créoles dorées à l'or, ornées de nacre, Médecine Douce, 96 €.
© Net-a-porter.com
Boucles d'oreilles en plaqué or et verre, Alighieri sur Net-a-porter.com, 320 €.
© Hey You Jewelry
Créoles en acier inoxydable et perles d'eau douce, Hey You Jewelry, 13 €.
© Histoire d'or
Boucles d'oreilles en plaqué or et oxydes de zirconium, Histoire d'or, 39 €.
© Sande Paris
Boucles d'oreilles dorées à l'or mat texturé avec perles d'eau douce, Sande Paris, 195 €.
© Monsieur Paris
Créoles en or jaune et perles d'eau douce, Monsieur Paris, 580 €.
© Swarovski
Boucles d'oreilles en métal et cristaux, Swarovski, 79 €.
"Little Women" : les premières images du film avec Emma Watson et Timothée Chalamet
C’est à Greta Gerwig, la réalisatrice de Lady Bird, qu'est revenu le défi d’adapter une énième fois ce classique de la littérature américaine au cinéma. Un film construit pour parler à la nouvelle génération. La cinéaste a confié à Vanity Fair qu’elle voyait cette œuvre "comme une autobiographie". Les quatre filles du docteur March, en français, est un film très attendu, notamment pour son casting 5 étoiles : Laura Dern, Meryl Streep, Emma Watson et les Français Louis Garrel et Timothée Chalamet, entre autres.Sortie en salles prévue le 25 décembre 2019, un joli cadeau de Noël.
Voici les premières images :
Coupe du monde 2019 : le journaliste Michel Izard ne s’excuse qu’à moitié pour ses propos sexistes
"Avec des gestes si délicats, au bout de doigts si fins, on peut comprendre que certains rêveraient d’être à la place de la balle", commentait le journaliste Michel Izard, pour évoquer une séquence de la Coupe du monde féminine 2019 dans le JT de 13h de Jean-Pierre Pernaut, mardi 18 juin 2019. Avant d’ajouter : "l’essentiel est ailleurs, dans ce jeu léger de jambes pour faire, comme les garçons, du tricot sur la pelouse. Une maille à l’endroit, une maille à l’envers, et donner le tournis ou la rage de vaincre." Des commentaires qui sont loin d'être passés inaperçus sur les réseaux. Le journaliste a de suite été pointé du doigts pour avoir employé un vocabulaire sexiste.
Effet boule de neige, avalanche de réactions, le tollé a pris tant d’ampleur que le concerné, Michel Izard, a été invité pour s’expliquer dans l’émission Quotidien, dès le lendemain, mercredi 19 juin 2019. Il l’a reconnu, certains de ses termes n’auraient pas dû être employés, ceux concernant la première partie de son commentaire particulièrement.Toutefois, le journaliste, grand amateur de figures de styles sur fond d'humour décalé, n’a pas remis en question sa référence au tricot. Selon ce dernier, ce n'était qu'une métaphore n’ayant pas raison de devenir un sujet de débat. "Alors le tricot, toute la matinée, je me suis dit ‘est-ce que je le dis ou pas’. Mais l’an dernier, j’ai fait un sujet sur les hommes et j'ai parlé du tricot, car c’est une expression. Je l’ai dit pour les hommes, alors je me suis dit ‘je vais le dire pour les femmes", explique-t-il de mauvaise foi. La journaliste de Quotidien, Lilia Hassaine, a mis un terme au débat en concluant: "les figures de style, c’est toujours casse-gueule quand on parle de foot féminin". Ce qui est très juste, surtout quand elles sont sexistes.
Voici la marque de sacs que les influenceuses s'arrachent en ce moment
Arrivée dans le cercle très fermé des designers en vogue dès 2017, Youngwon Kim a su très rapidement imposer sa marque, Danse Lente. Avec leurs lignes architecturales, ses modèles à la fois cool et graphiques s'annoncent comme la nouvelle référence en matière de sacs à main.
© Danse Lente
Basée à Londres et diplômée du London College of Fashion, la créatrice sud-coréenne réinvente ainsi avec brio les codes des accessoires de luxe. Du sac seau inspiré des sculptures de l'artiste Constantin Brancusi ou des pliages façon origami, en passant par un modèle plus singulier à la forme hexagonale, ici chaque pièce est twistée d'un grand coup de modernité.
© Danse Lente
Des designs contemporains, des matériaux de grande qualité ainsi que des détails inattendus et soignés. Tant d'éléments qui font le succès de cette marque (prononcée à la française). Et bonne nouvelle, les prix d'entrée de gamme sont en dessous de 400 €, ce qui reste bien en dessous des tarifs pratiqués par les maisons de luxe.
Désormais au bras des filles ultra-lookées, telles que Camila Coelho ou Brittany Xavier, ces sacs sont idéals pour donner un coup de boostà n’importe quel look.
Rendez-vous sur www.danselente.com
Netflix augmente le prix des abonnements en France
Neftlix augmente ses prix. D'après les informations du Figaro, il faudra désormais débourser 15,99 euros chaque mois, contre 13,99 euros auparavant, pour le forfait "Premium" qui donne accès à quatre écrans simultanés en haute définition. L'offre "Standard" - qui donne droit à deux écrans simultanés en haute définition - passera quant à elle de de 10,99 à 11,99 euros. Seul l'abonnement de base, appelé "Essentiel", reste au tarif de 7,99 euros mensuel. Depuis l'arrivée de Netflix sur le marché français, les offres "Standard" et "Premium" ont augmenté de 37,5 % et 33 %. Des hausses qui seront effectives dès ce 20 juin 2019 pour les nouveaux utilisateurs. Cependant, les Francais déjà abonnés seront touchés par cette hausse dans les semaines à venir.
En début d'année, on apprenait que le géant de la VOD avait déjà augmenté les prix de ses abonnements dans plusieurs pays, dont les Etats-Unis, ainsi que des pays d’Amérique Latine et des Caraïbes. Netflix compte sur ces augmentations des prix pour l’aider à financer ses investissements dans des productions originales et son développement au niveau international. En 2018, le service de streaming aurait ainsi déboursé plus de 8 milliards de dollars, misant de plus en plus sur des contenus exclusifs, comme les séries Stranger Things, 13 Reasons Why, ou le film Bird Box.
Don du sang : des associations LBGT portent plainte contre la France pour discrimination
En pleine collecte de don du sang, les discriminations ont la vie dure. Plusieurs associations LGBT ont porté plainte contre la France devant la Commission européenne pour discrimination, ce jeudi 20 juin 2019. En ligne de mire, l’obligation faite aux hommes gays d’observer une période d’abstinence d’au moins douze mois avant d’être autorisés à pouvoir donner leur sang.
"Cette réglementation, encore en vigueur, exclut dans les faits 93,3% des hommes gays du don du sang", ont expliqué dans un communiqué les associations SOS Homophobie, Mousse, Elus locaux contre le Sida, Stop Homophobie, et Familles LGBT.
Le don du sang a été ouvert aux personnes homosexuelles en 2016, avec cette spécificité. Une première plainte avait été déposée devant le Conseil d'Etat en 2017. Elle avait été déboutée. Les associations espèrent ainsi que la distinction française, fondée sur le comportement sexuel des donneurs, sera reconnue comme une discrimination en raison de l'orientation sexuelle.
Pourtant, au début du mois de juin, l’Etablissement français du sang (EFS) décrivait une pénurie inédite de dons, jamais atteinte depuis 8 ans. "Nous avons en moyenne 86 000 poches de sang […] Un niveau de couverture satisfaisant se situe plutôt entre 100 000 et 110 000 poches, pour répondre aux besoins d’aujourd’hui, de tout à l’heure, de demain", rapportait le 6 juin 2019 dans Ouest-France, François Charpentier, porte-parole de l’EFS.
Selon l'EFS, 10 000 dons par jours sont nécessaires afin de de sauver des personnes malades en situation d'urgence. Pour donner son sang, il faut avoir entre 18 et 70 ans, peser plus de 50 kg, et être en bonne santé. Des collectes sont organisées partout en France. Il est possible de les retrouver sur la carte du site de l’EFS, qui a aussi cette année lancé une application Don du sang disponible sur Android et IOS.
Electroland : le festival de musique électro de Disneyland Paris revient en juillet
Cet été, Disney passe à l’heure du festival musical. Le parc d’attraction accueille pour la troisième fois Electroland, un évènement où l’électro dance est à l’honneur. Cette année, les festivités seront placées sous le thème de la jungle. L’occasion pour Disneyland Paris de mettre en avant l'univers du Roi Lion, dont le film sortira le 17 juillet 2019. Electroland est donc le parfait compromis pour les mélomanes et les amoureux de Disney. D’ailleurs, pendant les trois jours de festival, les 5, 6 et 7 juillet 2019, les visiteurs auront la possibilité de monter à bord des attractions phares du Parc Walt Disney Studios, soit Rock’n’Roller Coaster, Crush’s Coaster, Ratatouille : L’Aventure Totalement Toquée de Rémy et The Twilight Zone Tower of Terror.
Et le line-up devrait convaincre les fans de musique électronique. Pour faire danser les participants, Steve Aoki, le DJ nommé aux Grammy Awards, sera présent le premier soir. Il partagera la tête d’affiche avec Nervo, le duo de chanteuses australiennes célèbres notamment pour leur tube "You’re Gonna Love Again". Ils seront rejoints par le groupe néerlandais Showtek et le DJ belge The Magician. L’ambiance des deux nuits suivantes sera assurée par Alesso, Nicky Romeo, B Jones, Jax Jones, Feder et Fedde Le Grand, entre autres…Pour ceux qui souhaitent rejoindre la fête, les réservations sont disponibles en ligne, à partir de 79 €.
Inde : les femmes forcées à ablater leur utérus pour travailler dans les champs de canne à sucres
C’est l’un des plus grands exportateurs de sucre au monde. Et pourtant, l’Inde a instauré des conditions de vies inhumaines pour les femmes qui travaillent dans les champs de cannes à sucres. Le 16 juin 2019, le webzine indien Firstpost a publié une enquête alarmante sur ces travailleuses précaires : les coupeuses de canne à sucres seraient contraintes d’avoir recours à l’ablation de l’utérus pour améliorer leur efficacité. En 2018, deux enquêtes réalisées par le gouvernement régional de Maharashtra, dans le centre de l’Inde, révélaient que 36% des femmes sur place avaient subi une ablation de l’utérus, contre seulement 3,2% dans tout le pays. En avril 2019, l’ONG Tathapi avait également publié une étude suite à la multiplication de ces interventions chirurgicales dans le village de Breed (ville de l’Etat du Maharashtra en Inde).
Des femmes exploitées au détriment de leur santé
"Les employeurs qui font travailler les ouvrières dans les champs de canne à sucres poussent ces femmes à se faire opérer afin qu'elles n’aient plus leurs règles, pour qu'elles puissent ainsi travailler sans interruption", peut-on lire dans le rapport. Et le corps médical est de mèche avec ces pratiques misogynes. Des témoignages de victimes récoltés par Firstpost indiquent que des médecins utilisent la crainte d’être atteinte du cancer du col de l’utérus pour arriver à leurs fins. Pire, dans 85% des cas, les opérations chirurgicales sont pratiquées dans des cliniques privées, dont certaines ne disposent pas de gynécologues.
Et les conditions de travail ne sont pas plus gratifiantes. Le quotidien des coupeuses de cannes à sucres de Breed est marqué par le harcèlement sexuel, la discrimination salariale et les douleurs physiques. Dès 4 heures du matin, elles commencent à couper les plantes. Pour la saison d’octobre à mars, elles gagnent entre 380 à 450 euros. L’opération d’ablation de l’utérus, elle, coûte entre 250 et 500 euros et n’est pas remboursée. Depuis le début de l’année 2019, 56 coupeuses de cannes à sucres sur 271 ont subi une hystérectomie. Suite aux révélations, le service de santé publique indien a annoncé qu’un comité avait été mis en place pour enquêter dans les hôpitaux suspectés et que "des actions seraient mis en place contre ceux qui se révèleront être coupables".
L’été chez Zalando s'annonce libre... comme vous
Leader européen du shopping en ligne, Zalando fait une entrée fracassante dans la saison estivale avec une campagne publicitaireà la fraîcheur sans pareille. Destinée aux hommes, aux femmes et aux enfants, personne n’est laissé pour compte. L’objectif de l’entreprise allemande étant de proposer un choix presque illimité en matière de mode, qu’importe le sexe, l’âge, la taille ou le style.
© Zalando
En témoigne leur vidéo promotionnelle aux allures de court-métrage et à l’esthétique léchée, réalisée par Mark Albiston (primé entre autres aux festivals de Cannes et de Sundance).
Grâce à une ambiance pop et décalée, un casting hétéroclite et déchaîné, une bande-son entraînante et les plus grandes tendances de l’été traitées à travers des styles bien affirmés, la magie opère. Ajoutez à ça un soleil de bord de mer qui tape et fait monter la température crescendo, et on y est.
© Zalando
© Zalando
Présent dans 17 pays européens, Zalando ne cesse d’augmenter son offre de vêtements, chaussures, sacs et accessoires pour toute la famille. Alors que vous soyez sobre, haut en couleur, branché créateur ou petit budget, il est grand temps de vous "habiller pour vous-même, et personne d’autre". Une philosophie libératrice qui fait du bien...
© Zalando
Voici un florilège de nos pièces préférées pour cet été :
Robe longue en viscose, For Love and Lemons sur Zalando, 309,95 €.
Sac seau recouvert d'un filet, River Island sur Zalando, 31,95 €.
Maillot de bain asymétrique, Next sur Zalando, 54 €.
Escarpins en raphia, Miista sur Zalando, 224,95 €.
Short ceinturé à grosse boucle, Fashion Union sur Zalando, 22,70 €.
Lunettes de soleil esprit 70s, Anna Field sur Zalando, 16,95 €.
"La Casa de Papel" saison 3 : voici les nouveaux personnages de la série Netflix
Disponible dès le 19 juillet 2019 sur Netflix, la saison 3 de la série espagnole La Casa de Papel présente déjà ses nouveaux membres : Stockholm (Esther Acebo), Lisbonne (Itziar Ituño), Palerme (Rodrigo de la Serna), Bogota (Hovik Keuchkerian) et Marseille (Luka Peros).
Lisboa pic.twitter.com/ADt8qageg8
— Netflix España (@NetflixES) 20 juin 2019
Estocolmo pic.twitter.com/BxWWqTPSK5
— Netflix España (@NetflixES) 20 juin 2019
Bogotá pic.twitter.com/4pqpFYXBU9
— Netflix España (@NetflixES) 20 juin 2019
Marsella pic.twitter.com/vDZRiaIDQd
— Netflix España (@NetflixES) 20 juin 2019
Palermo pic.twitter.com/18fSoSH51S
— Netflix España (@NetflixES) 20 juin 2019
Le casting original n’a pas été mis de côté pour autant, on retrouvera les anciens : Àlvaro Morte (alias Le Professeur), Pedro Alonso, Úrsula Corberó, Jaime Lorente, et compagnie. Pour da,s nouvelle saison, un membre de la bande a été pris en otage. Comment vont-ils lui venir en aide tout en protégeant leur planque ? En organisant un nouveau braquage, le plus grand casse imaginé par les malfaiteurs d’"El Professor".
Jul de la partie ? Le chanteur marseillais a participé à la promotion de la nouvelle saison, notamment pour présenter le personnage qui porte le nom de sa ville sur Instagram : Marseille.