À l'approche du coup d'envoi de la Coupe du Monde féminine, adidas a présenté les résultats d'une étude sur la pratique du sport féminin. La marque a aussi évoqué ses actions concrètes dans le cadre du développement du sport féminin en France, en s'appuyant notamment sur des athlètes comme Estelle Mossely et des partenariats avec l'UNSS (l’Union Nationale du Sport Scolaire). adidas poursuit son combat contre les clichés et les discriminations. La marque, qui avait instauré en 2016 une clause dans ses contrats de sponsoring pour protéger les athlètes qui feraient leur coming out, confirme aujourd'hui son engagement dans le développement du sport féminin, à travers le projet "She breaks barriers", traduit littéralement par "elle casse les barrières". À cette occasion, adidas France s’est intéressée à la pratique sportive des jeunes femmes vivant dans le Grand Paris à travers une étude menée conjointement avec BETC Teens. Verdict : les filles diminuent de manière conséquente leurs activités sportives vers 12-14 ans. Les barrières sont nombreuses à cet âge-là : physiques, mentales, matérielles... Les infrastructures sportives publiques sont deux fois plus utilisées par les garçons que par les filles et moins présentes en banlieue. D'après l'étude, le sport est deux fois moins pratiqué par les jeunes femmes de banlieue (27,4%) que par les femmes du centre de Paris (42,4%). Au-delà de ces barrières internes et externes, elles souffrent d’un véritable manque de projection car le sport féminin est sous-médiatisé en France, au profit de la pratique sportive masculine : quand 83% des hommes passent à l'antenne, seulement 17% des femmes sont interviewées.
Déterminée à changer la donne, la marque s'est engagée à soutenir des associations sportives féminines de Paris et de banlieue parisienne, parrainées par des visages incontournables du monde sportif féminin français : Estelle Yoka Mossely (boxe), Audrey Tcheumeo (judo), Allison Pineau (handball), Kadidiatou Diani (football) et Aissatou Tounkara (football), afin de favoriser l’accès au sport auprès des jeunes filles. Pour chaque marraine d’association, la mission est simple : inspirer les pratiquantes en incarnant des exemples de performance sportive et assurer, concrètement, l'augmentation du nombre de licenciées au sein de leur projet sportif. Des ambitions qui passent par l'accès aux infrastructures (la marque et son partenaire Le Five ont décidé de mettre, gratuitement, à disposition des jeunes filles près de 500 heures d’accès à des terrains de foot), offrir de nouvelles perspectives aux jeunes femmes d’aujourd’hui et de demain grâce au sport (proposer des programmes d’aide à l’orientation et à l’insertion professionnelle, ainsi que donner des moyens matériels et humains nécessaires), et encourager les filles à pratiquer une activité sportive sur le long terme et en masse en accélérant le partenariat avec l’UNSS (partenariats avec des collèges de région parisienne). 
À l’occasion du lancement de "She breaks barriers", adidas devient l’équipementier officiel d’Estelle Yoka Mossely, la marrainedu projet. En 2016, elle a fondé l’Observatoire Européen du Sport Féminin, organisme visant à encadrer la pratique sportive féminine de haut niveau avec des actions de sensibilisations dédiées aux jeunes générations. "She Breaks Barriers" est aussi le reflet de la croyance de l’entreprise adidas en France : "par le Sport, nous avons le pouvoir de changer des vies".