Avec les pics de pollution, on peut être tenter de protéger sa peau avec des brumes de soin anti-pollution. Mais... ça marche vraiment ça ? On a enquêté, telles les Bernarde de la Villardière des cosméto.
La réponse est claire : oui ! Elles sont au visage ce que les top-coats sont aux vernis : un bouclier invisible. Mieux, elles contiennent des agents visant à piéger et à solubiliser les polluants hydrophiles et lipophiles qui se déposent sur l’épiderme. Jusqu’à présent, on les vaporisait sur le visage le matin avant de partir au bureau, désormais on conseille de répéter l’opération deux ou trois fois dans la journée. Mais aussi le soir après le démaquillage, et le matin au lever pour purifier la peau de la pollution "indoor".
La réponse est claire : oui ! Elles sont au visage ce que les top-coats sont aux vernis : un bouclier invisible. Mieux, elles contiennent des agents visant à piéger et à solubiliser les polluants hydrophiles et lipophiles qui se déposent sur l’épiderme. Jusqu’à présent, on les vaporisait sur le visage le matin avant de partir au bureau, désormais on conseille de répéter l’opération deux ou trois fois dans la journée. Mais aussi le soir après le démaquillage, et le matin au lever pour purifier la peau de la pollution "indoor".